Patrick Devédjian, le secrétaire général de l'UMP
Sans pour autant indiquer quels ministères seraient concernés, le secrétaire général de l'UMP Patrick Devédjian a indiqué sur la chaîne France 2 que le remaniement d'après élections municipales devrait être "de petite importance, et surtout technique".
Questionné sur la portée et l'étendue de ce remaniement, Patrick Devédjian a déclaré : "Le Premier ministre a dit que non, que ce serait de petite importance, et surtout technique, mais je ne suis pas le porte-parole du gouvernement."
"Il y a un vrai travail de fond à faire pour l'UMP", a encore ajouté le secrétaire général de l'UMP, qui déclarait ce matin sur les ondes de la radio Europe 1 que le président de la République Nicolas Sarkozy lui a "renouvelé sa confiance". Pour Patrick Devédjian, ce sont "les équipes locales" qui doivent bouger. "La défaite, ca sert à ça, à changer", a-t-il estimé.
"Nous allons pouvoir renouveler nos équipes, partout où nous avons perdu, on a besoin d'une nouvelle génération, la politique de l'ouverture a été plutôt positive et je crois qu'il faut la développer", a encore déclaré Patrick Devédjian, estimant qu'il "y a une vraie demande d'avoir des maires à plein temps et des maires en proximité de la population, en particulier avec les quartiers populaires".
Invité ce matin de la chaîne LCI, l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin estimait lui que la défaite de la droite au lendemain de ces élections municipales devait permettre de "corriger le tir sur un certain nombre de points".
Questionné sur la portée et l'étendue de ce remaniement, Patrick Devédjian a déclaré : "Le Premier ministre a dit que non, que ce serait de petite importance, et surtout technique, mais je ne suis pas le porte-parole du gouvernement."
"Il y a un vrai travail de fond à faire pour l'UMP", a encore ajouté le secrétaire général de l'UMP, qui déclarait ce matin sur les ondes de la radio Europe 1 que le président de la République Nicolas Sarkozy lui a "renouvelé sa confiance". Pour Patrick Devédjian, ce sont "les équipes locales" qui doivent bouger. "La défaite, ca sert à ça, à changer", a-t-il estimé.
"Nous allons pouvoir renouveler nos équipes, partout où nous avons perdu, on a besoin d'une nouvelle génération, la politique de l'ouverture a été plutôt positive et je crois qu'il faut la développer", a encore déclaré Patrick Devédjian, estimant qu'il "y a une vraie demande d'avoir des maires à plein temps et des maires en proximité de la population, en particulier avec les quartiers populaires".
Invité ce matin de la chaîne LCI, l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin estimait lui que la défaite de la droite au lendemain de ces élections municipales devait permettre de "corriger le tir sur un certain nombre de points".