Dans les heures qui ont suivi l’attaque sanglante perpétrée mercredi 18 mars au musée du Bardo, à Tunis, les hashtags #JeSuisBardo et #JeSuisTunisien se sont rapidement propagés sur les réseaux sociaux.
Forgés sur le modèle de #JeSuisCharlie, des internautes du monde entier rendent hommage par ce biais aux victimes de l'attentat, et expriment leur solidarité avec la Tunisie, frappée par le terrorisme après la France et le Danemark.
De nombreux internautes ont aussi posté des photos d’eux tenant une pancarte sur laquelle est inscrit « I will come to Tunisia this summer » (« J’irai en Tunisie cet été »). Une page Facebook dédiée a été créée, et a déjà été likée plus de 30 000 fois.
En attaquant le musée du Bardo, qui abrite l’une de plus belles collections de mosaïques romaines au monde, le secteur du tourisme en Tunisie pourrait à nouveau être fortement menacé après cet attentat.
En 2011, après la révolution de jasmin, la fréquentation touristique avait baissé de 30 %. Le niveau de fréquentation enregistrés avant le Printemps arabe en 2011 n’avait plus été atteint, mais les professionnels du tourisme s’attendaient à une belle saison après des résultats encourageants en 2013 et en 2014. Le secteur représente à lui seul 7 % du PIB de la Tunisie et emploie 12 % de la population active.
Au lendemain de l'attaque à la kalachnikov, l'Etat islamique a revendiqué l'attentat. L'organisation a diffusé un message audio dans lequel elle qualifie les deux terroristes abattus par les forces tunisiennes de « chevaliers de l'Etat islamique ». L'attaque a secoué la Tunisie dans son ensemble. Des milliers de Tunisiens sont spontanément sortis en masse le soir de l'attentat, dans la capitale, pour crier leur hostilité au terrorisme. Des rassemblements en France son également organisés en soutien à la Tunisie.
Lire aussi :
Attaque du Bardo : la Tunisie frappée en plein cœur, 22 morts
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De nombreux internautes ont aussi posté des photos d’eux tenant une pancarte sur laquelle est inscrit « I will come to Tunisia this summer » (« J’irai en Tunisie cet été »). Une page Facebook dédiée a été créée, et a déjà été likée plus de 30 000 fois.
En attaquant le musée du Bardo, qui abrite l’une de plus belles collections de mosaïques romaines au monde, le secteur du tourisme en Tunisie pourrait à nouveau être fortement menacé après cet attentat.
En 2011, après la révolution de jasmin, la fréquentation touristique avait baissé de 30 %. Le niveau de fréquentation enregistrés avant le Printemps arabe en 2011 n’avait plus été atteint, mais les professionnels du tourisme s’attendaient à une belle saison après des résultats encourageants en 2013 et en 2014. Le secteur représente à lui seul 7 % du PIB de la Tunisie et emploie 12 % de la population active.
Au lendemain de l'attaque à la kalachnikov, l'Etat islamique a revendiqué l'attentat. L'organisation a diffusé un message audio dans lequel elle qualifie les deux terroristes abattus par les forces tunisiennes de « chevaliers de l'Etat islamique ». L'attaque a secoué la Tunisie dans son ensemble. Des milliers de Tunisiens sont spontanément sortis en masse le soir de l'attentat, dans la capitale, pour crier leur hostilité au terrorisme. Des rassemblements en France son également organisés en soutien à la Tunisie.
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