Dimanche soir, une voiture pleine d'explosifs devait exploser sur un parking de la ville de Logrono, capitale de la région de la Rioja, dans le nord de l'Espagne, mais le dispositif a fait long feu, rapporte lundi la presse espagnole.
Un correspondant se réclamant du groupe séparatiste basque ETA avait téléphoné à 23h00 (21h00 GMT) à un journal basque pour l'avertir d'une explosion imminente.
Une demi-heure plus tard, une petite déflagration secouait un parc de stationnement de Logrono, le détonateur n'ayant pas fait exploser la charge qui, selon la police, était de 100 à 150 kilos. Des artificiers ont ensuite désamorcé l'engin.
Quelques heures auparavant, le groupe indépendantiste avait annoncé qu'il allait continuer à frapper l'Etat espagnol "sur tous les fronts".
Dans son premier communiqué diffusé depuis qu'elle a mis fin en juin à un cessez-le-feu de 14 mois, cette organisation terroriste estime que le processus de paix lancé par le président du gouvernement José Luis Zapatero n'offre aucune solution politique et ne vise qu'à sa reddition.
Le groupe armé a revendiqué l'explosion de deux petites charges au passage du Tour de France cycliste en juillet dans la province de Navarre, un attentat en août contre une caserne de la garde civile, la destruction d'un véhicule dans le sud de l'Espagne le même mois et un attentat dans la région de la Rioja, dans le nord du pays, dimanche dernier.
Un correspondant se réclamant du groupe séparatiste basque ETA avait téléphoné à 23h00 (21h00 GMT) à un journal basque pour l'avertir d'une explosion imminente.
Une demi-heure plus tard, une petite déflagration secouait un parc de stationnement de Logrono, le détonateur n'ayant pas fait exploser la charge qui, selon la police, était de 100 à 150 kilos. Des artificiers ont ensuite désamorcé l'engin.
Quelques heures auparavant, le groupe indépendantiste avait annoncé qu'il allait continuer à frapper l'Etat espagnol "sur tous les fronts".
Dans son premier communiqué diffusé depuis qu'elle a mis fin en juin à un cessez-le-feu de 14 mois, cette organisation terroriste estime que le processus de paix lancé par le président du gouvernement José Luis Zapatero n'offre aucune solution politique et ne vise qu'à sa reddition.
Le groupe armé a revendiqué l'explosion de deux petites charges au passage du Tour de France cycliste en juillet dans la province de Navarre, un attentat en août contre une caserne de la garde civile, la destruction d'un véhicule dans le sud de l'Espagne le même mois et un attentat dans la région de la Rioja, dans le nord du pays, dimanche dernier.