« Tiens, je vous donne un scoop : je viens de faire condamner Gilles Verdez pour diffamation. Il m’a traité d’islamophobe chez Hanouna », a annoncé Bernard de la Villardière dans un entretien accordé au Monde paru samedi 17 avril.
Le journaliste, qui présente depuis plusieurs années l'émission Enquête Exclusive, est revenu sur les accusations portées à son encontre lors d'une passe d'armes entre lui et un des chroniqueurs de l'émission Touche pas à mon poste sur C8 en février 2018.
« Je ne suis pas du tout islamophobe ! Au contraire, je pense être un des rares journalistes qui sont allés le plus au chevet des victimes musulmanes des guerres civiles, des trafics », a déclaré Bernard de la Villardière. « Il m’accuse de ne pas faire mon travail de journaliste. »
Lundi 19 avril, sur le plateau de TPMP, Gilles Verdez est revenu sur sa condamnation. « Bernard de La Villardière m’avait attaqué à propos de l’ensemble des déclarations et des critiques que j’ai faites ici sur son émission », a-t-il confirmé. « Il aurait pu attaquer TPMP ou le diffuseur mais il n’a attaqué que moi. Sur l’ensemble de son dossier, il a gagné sur le qualificatif d’islamophobie mais il a perdu sur tout le reste », a-t-il souligné, indiquant au passage que la justice n’ a pas retenu les accusations d’« acharnement » portées par le journaliste devant les tribunaux.
Gilles Verdez a, en outre, révélé avoir été condamné à quelque 5 000 euros par la justice. Une somme que H2O Productions, la boite qui produit l'émission Touche pas à mon poste, a intégralement pris en charge selon le chroniqueur. « Vous aviez mis un très bon avocat à ma disposition donc je voulais vous remercier », a signifié le chroniqueur auprès de Cyril Hanouna.
Le journaliste, qui présente depuis plusieurs années l'émission Enquête Exclusive, est revenu sur les accusations portées à son encontre lors d'une passe d'armes entre lui et un des chroniqueurs de l'émission Touche pas à mon poste sur C8 en février 2018.
« Je ne suis pas du tout islamophobe ! Au contraire, je pense être un des rares journalistes qui sont allés le plus au chevet des victimes musulmanes des guerres civiles, des trafics », a déclaré Bernard de la Villardière. « Il m’accuse de ne pas faire mon travail de journaliste. »
Lundi 19 avril, sur le plateau de TPMP, Gilles Verdez est revenu sur sa condamnation. « Bernard de La Villardière m’avait attaqué à propos de l’ensemble des déclarations et des critiques que j’ai faites ici sur son émission », a-t-il confirmé. « Il aurait pu attaquer TPMP ou le diffuseur mais il n’a attaqué que moi. Sur l’ensemble de son dossier, il a gagné sur le qualificatif d’islamophobie mais il a perdu sur tout le reste », a-t-il souligné, indiquant au passage que la justice n’ a pas retenu les accusations d’« acharnement » portées par le journaliste devant les tribunaux.
Gilles Verdez a, en outre, révélé avoir été condamné à quelque 5 000 euros par la justice. Une somme que H2O Productions, la boite qui produit l'émission Touche pas à mon poste, a intégralement pris en charge selon le chroniqueur. « Vous aviez mis un très bon avocat à ma disposition donc je voulais vous remercier », a signifié le chroniqueur auprès de Cyril Hanouna.