Dans des déclarations séparées, les leaders algérien, marocain et tunisien ont condamné le bombardement israélien, dimanche (30 juillet), de Cana, au Liban, dans lequel plus de 50 civils, dont la moitié d'entre eux étaient des enfants, ont trouvé la mort.
Ils ont demandé qu'une enquête soit effectuée, ont appelé au cessez-le-feu immédiat et au déploiement d'une force internationale de maintien de la paix mandatée par l'ONU.
Le Conseil de Sécurité de l'ONU a condamné à l'unanimité ce qu'il a qualifié d'incident "extrêmement choquant et affligeant", sans toutefois appeler à un cessez-le-feu immédiat.
Israël s'est excusé pour la perte de civils et a accusé le groupe militant, le Hezbollah, de tirer des rockets sur Israël à partir de résidences.
La Tunisie a organisé une période de deuil national de trois jours, à la mémoire des victimes de Cana.
Ils ont demandé qu'une enquête soit effectuée, ont appelé au cessez-le-feu immédiat et au déploiement d'une force internationale de maintien de la paix mandatée par l'ONU.
Le Conseil de Sécurité de l'ONU a condamné à l'unanimité ce qu'il a qualifié d'incident "extrêmement choquant et affligeant", sans toutefois appeler à un cessez-le-feu immédiat.
Israël s'est excusé pour la perte de civils et a accusé le groupe militant, le Hezbollah, de tirer des rockets sur Israël à partir de résidences.
La Tunisie a organisé une période de deuil national de trois jours, à la mémoire des victimes de Cana.