Le secrétaire général de l'Onu Kofi Annan a appelé lundi les musulmans en colère après la publication en Europe de caricatures du Saint Prophète de l'Islam (psb) à "pardonner" et à s'abstenir de tout recours à la violence.
"J'appelle les musulmans (...) à agir avec calme et dignité, à pardonner le mal dont ils ont souffert et à chercher la paix plutôt que les conflits", a lancé M. Annan en recevant à Dubaï le prix Zayed pour l'environnement.
Il a réitéré son appel aux musulmans à "accepter les excuses formulées" par le journal danois, qui a, le premier, publié les caricatures incriminées.
Il a rejeté les actes de violence perpétrés par des protestataires dans certains pays musulmans.
"Je comprends et je partage, leur douleur. Mais je ne peux pas justifier la violence, et encore plus les attaques contre des personnes innocentes", a-t-il dit.
Le secrétaire général a appelé "tous ceux qui ont une autorité ou influence sur les différentes communautés, aussi bien les religieux que les laïcs, et les hommes et femmes de bonne volonté de toutes confessions et communautés, à engager le dialogue et bâtir une véritable alliance de civilisations sur la base du respect mutuel".
Il a indiqué aux journalistes que l'Onu tentait de contenir la crise. "Je suis en contact avec plusieurs dirigeants du monde, aussi bien dans cette région (Moyen-Orient) qu'en Europe, pour essayer de voir ce que nous pouvons faire afin de calmer la situation", a-t-il dit.
"J'appelle les musulmans (...) à agir avec calme et dignité, à pardonner le mal dont ils ont souffert et à chercher la paix plutôt que les conflits", a lancé M. Annan en recevant à Dubaï le prix Zayed pour l'environnement.
Il a réitéré son appel aux musulmans à "accepter les excuses formulées" par le journal danois, qui a, le premier, publié les caricatures incriminées.
Il a rejeté les actes de violence perpétrés par des protestataires dans certains pays musulmans.
"Je comprends et je partage, leur douleur. Mais je ne peux pas justifier la violence, et encore plus les attaques contre des personnes innocentes", a-t-il dit.
Le secrétaire général a appelé "tous ceux qui ont une autorité ou influence sur les différentes communautés, aussi bien les religieux que les laïcs, et les hommes et femmes de bonne volonté de toutes confessions et communautés, à engager le dialogue et bâtir une véritable alliance de civilisations sur la base du respect mutuel".
Il a indiqué aux journalistes que l'Onu tentait de contenir la crise. "Je suis en contact avec plusieurs dirigeants du monde, aussi bien dans cette région (Moyen-Orient) qu'en Europe, pour essayer de voir ce que nous pouvons faire afin de calmer la situation", a-t-il dit.