Hugo Chavez, le président vénézuélien
"Etant donné que le processus a déjà été enclenché et qu'il existe des choses que l'on ne peut pas arrêter, [...] j'espère que les Farc vont me faire parvenir des preuves de vie [des otages]. Je continue à attendre. Envoyez-les moi Marulanda", a déclaré Hugo Chavez, le président vénézuélien.
Pourtant, mercredi dernier 21 novembre, le président colombien Alvaro Uribe avait brutalement mis fin à sa médiation avec les FARC, la guérilla marxiste colombienne, en vue de procéder à un échange d'otages. 45 otages des FARC, dont la franco-colombienne Ingrid Betancourt et trois Américains, devaient être libérés contre 500 guerilléros des FARC détenus dans les prisons colombiennes. Le président colombien a lui considéré comme une ingérence le fait que le président vénézuélien Hugo Chavez discute directement avec le chef des FARC.
"Le président français Nicolas Sarkozy a raison d'exiger des preuves de vie. Je lui ai dit que Marulanda m'avait chargé de dire qu'il en avait donné l'ordre mais ce n'est pas facile parce que nous sommes en guerre" a ajouté Hugo Chavez, poursuivant : "Il faut faire tous les efforts pour la paix et un accord humanitaire mais en tenant compte qu'on ne peut pas mettre en danger la sécurité démocratique. C'est elle qui nous apportera finalement la paix et mettra fin aux enlèvements qui affecte notre pays."
Pourtant, mercredi dernier 21 novembre, le président colombien Alvaro Uribe avait brutalement mis fin à sa médiation avec les FARC, la guérilla marxiste colombienne, en vue de procéder à un échange d'otages. 45 otages des FARC, dont la franco-colombienne Ingrid Betancourt et trois Américains, devaient être libérés contre 500 guerilléros des FARC détenus dans les prisons colombiennes. Le président colombien a lui considéré comme une ingérence le fait que le président vénézuélien Hugo Chavez discute directement avec le chef des FARC.
"Le président français Nicolas Sarkozy a raison d'exiger des preuves de vie. Je lui ai dit que Marulanda m'avait chargé de dire qu'il en avait donné l'ordre mais ce n'est pas facile parce que nous sommes en guerre" a ajouté Hugo Chavez, poursuivant : "Il faut faire tous les efforts pour la paix et un accord humanitaire mais en tenant compte qu'on ne peut pas mettre en danger la sécurité démocratique. C'est elle qui nous apportera finalement la paix et mettra fin aux enlèvements qui affecte notre pays."