Le nombre de nouveaux malades du chikungunya continue à diminuer lentement à la Réunion, avec 1.200 cas enregistrés dans la semaine du 15 au 21 mai, selon le bilan hebdomadaire de la Cire (Cellule interrégionale d'épidémiologie Réunion-Mayotte).
Ces cas portent à 260.000 le nombre total de malades depuis le début de l'épidémie en février-mars 2005. "La tendance générale des indicateurs de l'épidémie est à la baisse, mais le niveau de transmission du virus demeure comparable à celui observé la semaine précédente", selon la Cire.
L'épidémie reste active sur l'île et se maintient à un niveau élevé, très supérieur au maximum de transmission atteint en mai 2005, où environ 500 cas avaient été enregistrés par semaine, a ajouté la Cire dans un communiqué. Elle a rappelé qu'en 2005, la transmission virale s'est poursuivie au cours de l'hiver austral avant d'augmenter brutalement à partir de décembre.
Selon la Cire, "malgré l'importance de l'épidémie enregistrée cette année, la population encore susceptible d'être infectée reste suffisante pour qu'un tel phénomène se reproduise". Le préfet de la Réunion Laurent Cayrel a souligné de son côté que les chiffres ne sont "pas satisfaisants" et qu'il est "plus que nécessaire de remobiliser le plan général de lutte anti-moustiques". Il a annoncé qu'il n'y aura "pas d'allègement du dispositif de lutte prévu pour le 15 juin sans une baisse significative du nombre de malades".
Ces cas portent à 260.000 le nombre total de malades depuis le début de l'épidémie en février-mars 2005. "La tendance générale des indicateurs de l'épidémie est à la baisse, mais le niveau de transmission du virus demeure comparable à celui observé la semaine précédente", selon la Cire.
L'épidémie reste active sur l'île et se maintient à un niveau élevé, très supérieur au maximum de transmission atteint en mai 2005, où environ 500 cas avaient été enregistrés par semaine, a ajouté la Cire dans un communiqué. Elle a rappelé qu'en 2005, la transmission virale s'est poursuivie au cours de l'hiver austral avant d'augmenter brutalement à partir de décembre.
Selon la Cire, "malgré l'importance de l'épidémie enregistrée cette année, la population encore susceptible d'être infectée reste suffisante pour qu'un tel phénomène se reproduise". Le préfet de la Réunion Laurent Cayrel a souligné de son côté que les chiffres ne sont "pas satisfaisants" et qu'il est "plus que nécessaire de remobiliser le plan général de lutte anti-moustiques". Il a annoncé qu'il n'y aura "pas d'allègement du dispositif de lutte prévu pour le 15 juin sans une baisse significative du nombre de malades".