Sur le vif
Après l’attaque au couteau survenue au sein de la préfecture de police de Paris jeudi 3 octobre, et qui a coûté la vie à quatre fonctionnaires, Nadine Morano s’est exprimée sur BFMTV, dimanche 6 octobre, sur cette affaire, suggérant l’arrêt de construction de nouvelles mosquées en France.
« Tant qu’on n’a pas réglé ce problème de la pratique de l’islam en France, il ne faut plus ouvrir de nouvelles mosquées. Il faut régler ce problème, c’est tout », a ainsi déclaré la députée européenne élue sous l'étiquette Les Républicains.
Si l'amalgame entre islam, violence et terrorisme est flagrant pour ses détracteurs, dans sa dialectique, il s’agit d’un « sujet de protection des musulmans qui vivent sur nos territoires », des musulmans « qui sont intégrés et qui vivent leur religion de manière normale » et qui sont « exaspérés par notre laxisme ».
Selon elle, l’arrêt d’ouverture des mosquées « n’est pas une question de pénaliser, c’est une question de protection également ».
A l'instar d'autres hommes et femmes politiques, elle a appelé à la démission du ministre de l'intérieur Christophe Castaner qui, selon elle, « n’est plus habilité à rester ministre de l’Intérieur ». Ce dernier, tout en reconnaissant des « failles », a exclu cette possibilité. Il garde la confiance du Premier ministre Édouard Philippe.
Lire aussi :
Ce que l'on sait de l'attaque perpétrée à la préfecture de police de Paris
« Tant qu’on n’a pas réglé ce problème de la pratique de l’islam en France, il ne faut plus ouvrir de nouvelles mosquées. Il faut régler ce problème, c’est tout », a ainsi déclaré la députée européenne élue sous l'étiquette Les Républicains.
Si l'amalgame entre islam, violence et terrorisme est flagrant pour ses détracteurs, dans sa dialectique, il s’agit d’un « sujet de protection des musulmans qui vivent sur nos territoires », des musulmans « qui sont intégrés et qui vivent leur religion de manière normale » et qui sont « exaspérés par notre laxisme ».
Selon elle, l’arrêt d’ouverture des mosquées « n’est pas une question de pénaliser, c’est une question de protection également ».
A l'instar d'autres hommes et femmes politiques, elle a appelé à la démission du ministre de l'intérieur Christophe Castaner qui, selon elle, « n’est plus habilité à rester ministre de l’Intérieur ». Ce dernier, tout en reconnaissant des « failles », a exclu cette possibilité. Il garde la confiance du Premier ministre Édouard Philippe.
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