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Le 30 octobre 2014, la troisième journée du Congrès international féminin a porté sur deux thèmes « Voilement / Dévoilement » et « Culture de paix ».
Lors de la première conférence « Voilement / Dévoilement », Abderrazak Guessoum, philosophe, membre de l’Union des écrivains algériens et président de séance, a évoqué le Coran au féminin.
Traitant de l’exégèse du Coran au féminin, l’islamologue Mongia Nefsi Souahi a plaidé pour une nouvelle interprétation du Livre saint afin de parvenir à un juste équilibre hommes-femmes dans la religion musulmane.
La professeure de sciences islamiques Meriem Attia a complaété le propos en évoquant les hadiths misogynes qui ont contribué à donner une mauvaise image de l’islam et a incité à déconstruire les fausses vérités s’agissant de l’islam.
Quant à Mohammad Akram Nadwi, enseignant, écrivain et chercheur associé au Centre des études islamiques d’Oxford, il a évoqué la mémoire oubliée des 9 000 femmes savantes de l’islam.
La dernière conférence du congrès, présidée par Virginie Larousse, rédactrice en chef du Monde des religions, était pleinement consacrée à la culture de paix.
Keiko Takai Nakamura, professeure agrégée et spécialisée en anthropologie culturelle, a expliqué le fonctionnement des kaizen, un mouvement de développement durable et socio-économique japonais tout autant que philosophie de la vie à laquelle les femmes ont joué un rôle prépondérant.
Delia Mamon, fondatrice de la Fondation Graines de paix, a expliqué les missions et les valeurs de cette ONG d’éducation à la culture de paix, fondée en 2005, à Genève.
Cheikh Khaled Bentounes, quant à lui, a appelé le public à apporter sa signature à une pétition proposant aux Nations unies de décréter une Journée mondiale du vivre ensemble.
A l’issue de ce Congrès ayant rassemblé des représentants de plus de 25 nationalités, une liste de recommandations, appelée la « Déclaration d’Oran », a été publiée pour que la première édition du Congrès international féminin devienne la base de réalisations communes afin de mettre en place une plateforme d’actions concrètes en faveur de la culture de la paix.
Lors de la première conférence « Voilement / Dévoilement », Abderrazak Guessoum, philosophe, membre de l’Union des écrivains algériens et président de séance, a évoqué le Coran au féminin.
Traitant de l’exégèse du Coran au féminin, l’islamologue Mongia Nefsi Souahi a plaidé pour une nouvelle interprétation du Livre saint afin de parvenir à un juste équilibre hommes-femmes dans la religion musulmane.
La professeure de sciences islamiques Meriem Attia a complaété le propos en évoquant les hadiths misogynes qui ont contribué à donner une mauvaise image de l’islam et a incité à déconstruire les fausses vérités s’agissant de l’islam.
Quant à Mohammad Akram Nadwi, enseignant, écrivain et chercheur associé au Centre des études islamiques d’Oxford, il a évoqué la mémoire oubliée des 9 000 femmes savantes de l’islam.
La dernière conférence du congrès, présidée par Virginie Larousse, rédactrice en chef du Monde des religions, était pleinement consacrée à la culture de paix.
Keiko Takai Nakamura, professeure agrégée et spécialisée en anthropologie culturelle, a expliqué le fonctionnement des kaizen, un mouvement de développement durable et socio-économique japonais tout autant que philosophie de la vie à laquelle les femmes ont joué un rôle prépondérant.
Delia Mamon, fondatrice de la Fondation Graines de paix, a expliqué les missions et les valeurs de cette ONG d’éducation à la culture de paix, fondée en 2005, à Genève.
Cheikh Khaled Bentounes, quant à lui, a appelé le public à apporter sa signature à une pétition proposant aux Nations unies de décréter une Journée mondiale du vivre ensemble.
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Lire aussi :
Coup d'envoi du Congrès international féminin pour une culture de paix
La culture de paix, c’est maintenant !
Hommes-femmes en islam : une question d’équilibre
Khaled Bentounes : « Les femmes sont vecteurs de paix »
Visionner les reportages :
Congrès international féminin – Jour 1 (vidéo)
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