Plusieurs rassemblements contre l’antisémitisme ont été organisés à travers la France mardi 19 février. La plus importante, qui a rassemblé des milliers de personnes, s’est déroulée place de la République, en plein Paris, où se sont donnés rendez-vous dès 19h tout le gratin du monde politique. L’ensemble des partis – à l’exception notable du Rassemblement national (ex-FN) qui n’a pas été invité – ont répondu à l’appel du Parti socialiste.
Aux côtés de personnalités religieuses, le Premier ministre Edouard Philippe et une vingtaine de membres du gouvernement ont répondu présents. Deux anciens présidents de la République Nicolas Sarkozy et François Hollande ont également fait le déplacement. Emmanuel Macron n’était pas des leurs mais s’est rendu dans l'après-midi à Quatzenheim, en Alsace, où 80 tombes d'un cimetière juif ont été profanées, avant de se recueillir au Mémorial de la Shoah à Paris.
En parallèle de la manifestation étiquetée transpartisane, un autre rassemblement parisien, à Ménilmontant, a été organisé à l'appel de plusieurs organisations dont l'Union juive française pour la paix (UJFP) et le Nouveau Parti anticapitaliste « contre les actes antisémites, contre leur instrumentalisation, pour le combat contre toutes les formes de racisme ».
A l'heure où la question de confondre pénalement l'antisionisme à l'antisémitisme est débattue, Celle-ci a réuni quelques centaines de personnes qui refusent d’être pris « en otage entre les instrumentalisations du gouvernement ou celles des officines et ambassades poursuivant un agenda n'ayant rien à voir avec le combat contre le racisme et l'antisémitisme ».
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Haïr l’antisémitisme
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