Alain Soral et Dieudonné officialisent la création de leur parti politique "Réconciliation nationale".
Dieudonné et Alain Soral ont officialisé la création de leur parti politique. Dans une vidéo postée sur le Web mardi 11 novembre et repérée par Mediapart, ils présentent ensemble « Réconciliation nationale » comme un « parti anti-système » qui viendrait aider des personnes autres qu'eux-mêmes à se présenter aux élections locales en France.
« Le Front national est rentré dans le système après l’éviction de Jean-Marie Le Pen et il faut bien qu’il y ait un parti anti-système », explique Alain Soral, qui avoue avoir fait pression un temps sur le FN sur ses politiques économique et internationale. S'il se dit satisfait du premier, il n'en est pas du second, pointant du doigt les positions pro-israéliennes du FN, particulièrement depuis l'entrée d'Aymeric Chauprade, le conseiller aux affaires internationales de Marine Le Pen.
Le président d’Egalite & Réconciliation (E&R), qui revendique 7 000 adhérents, et l'humoriste font également valoir la forte exposition médiatique d'Eric Zemmour à la sortie de son livre Le suicide français pour justifier la création de leur mouvement. Tous deux, qui se disent « suivis par le peuple en réalité », déclarent proposer « du sérieux politique » à travers « Réconciliation nationale ». Sérieux, vraiment ?
« Le Front national est rentré dans le système après l’éviction de Jean-Marie Le Pen et il faut bien qu’il y ait un parti anti-système », explique Alain Soral, qui avoue avoir fait pression un temps sur le FN sur ses politiques économique et internationale. S'il se dit satisfait du premier, il n'en est pas du second, pointant du doigt les positions pro-israéliennes du FN, particulièrement depuis l'entrée d'Aymeric Chauprade, le conseiller aux affaires internationales de Marine Le Pen.
Le président d’Egalite & Réconciliation (E&R), qui revendique 7 000 adhérents, et l'humoriste font également valoir la forte exposition médiatique d'Eric Zemmour à la sortie de son livre Le suicide français pour justifier la création de leur mouvement. Tous deux, qui se disent « suivis par le peuple en réalité », déclarent proposer « du sérieux politique » à travers « Réconciliation nationale ». Sérieux, vraiment ?