Le dossier iranien
Dominique de Villepin a présidé, mardi matin, avec son homologue russe Mikhaïl Fradkov le 11e séminaire intergouvernemental. Cela a été l'occasion d'un engagement en faveur d'une intensification de la coopération entre la France et la Russie dans les secteurs économique, technologique ou encore énergétique.
"La France et la Fédération de Russie appellent l'Iran à se conformer pleinement à la résolution de février du Conseil des gouverneurs et aux demandes de l'AIEA, y compris la pleine suspension de toutes les activités liées à l'enrichissement et au recyclage", peut-on lire dans une déclaration conjointe franco-russe adoptée mardi.
Le communiqué reconnaît "le droit légitime de l'Iran de développer un programme d'énergie nucléaire durable et en sécurité et d'en jouir les bénéfices, à condition que sa nature pacifique soit garantie".
Le Premier ministre russe s'est dit "préoccupé par la façon dont se déroulent les évènements" au sujet du programme nucléaire iranien, ajoutant toutefois que le potentiel d'une issue positive n'était "pas encore épuisé".
En effet, Téhéran a repoussé les discussions prévues cette semaine sur la proposition de Moscou de s'occuper des activités d'enrichissement de l'uranium de Téhéran sur le sol russe. Selon des agences de presse russes qui ont cité Mikhaïl Kamynine, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, la Russie examine désormais une demande de Téhéran pour les entretiens à Moscou se tiennent lundi.
"La France et la Fédération de Russie appellent l'Iran à se conformer pleinement à la résolution de février du Conseil des gouverneurs et aux demandes de l'AIEA, y compris la pleine suspension de toutes les activités liées à l'enrichissement et au recyclage", peut-on lire dans une déclaration conjointe franco-russe adoptée mardi.
Le communiqué reconnaît "le droit légitime de l'Iran de développer un programme d'énergie nucléaire durable et en sécurité et d'en jouir les bénéfices, à condition que sa nature pacifique soit garantie".
Le Premier ministre russe s'est dit "préoccupé par la façon dont se déroulent les évènements" au sujet du programme nucléaire iranien, ajoutant toutefois que le potentiel d'une issue positive n'était "pas encore épuisé".
En effet, Téhéran a repoussé les discussions prévues cette semaine sur la proposition de Moscou de s'occuper des activités d'enrichissement de l'uranium de Téhéran sur le sol russe. Selon des agences de presse russes qui ont cité Mikhaïl Kamynine, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, la Russie examine désormais une demande de Téhéran pour les entretiens à Moscou se tiennent lundi.