Une dizaine de tombes musulmanes situées dans le cimetière Paysager de Draguignan ont été profanées dans la nuit de dimanche 12 au lundi 13 mai. Les plaques ornant les sépultures et les objets honorant la mémoire des défunts ont été dégradés, renversés et brisés.
« Aucune inscription de quelque nature que ce soit n’a été retrouvée », a indiqué le procureur de la République Patrice Camberou, faisant savoir dans un communiqué que « le parquet a immédiatement ouvert une enquête confiée au commissariat de Draguignan qui a pu effectuer des relevés dans le but de mettre en évidence des traces d’ADN, des empreintes papillaires et tout élément permettant d’identifier les auteurs des faits ».
Le procureur s’est rendu sur place pour constater les dégâts, en compagnie du sous-préfet de l'arrondissement de Draguignan, Eric De Wispelaere, et du maire de Draguignan Richard Strambio. Celui-ci a porté plainte contre X, rapporte Nice Matin.
« Les familles victimes de ces dégradations volontaires ont été contactées afin de faciliter leurs dépôts de plainte », a précisé le procureur, rappelant que « ces dégradations graves ainsi que la violation de sépultures sont passibles d’une peine de prison pouvant aller jusqu’à quatre ans et d’une amende de 30 000 euros ».
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