L'armée égyptienne a abattu 20 « terroristes islamistes » présumés dans la région du Sinaï, proche de la frontière avec Israël, mercredi 8 août, d'après une source militaire.
Ces opérations militaires par frappes aériennes sont un « succès complet » et vont se poursuivre, a affirmé officiellement l'armée égyptienne sans avancer de chiffres. Elles visent « à assurer le contrôle et restaurer la sécurité en pourchassant et en ciblant les éléments terroristes armés présents dans le Sinaï », a-t-elle ajouté.
L'offensive militaire a été lancée après la mort de 16 gardes-frontières égyptiens dimanche 5 août par des « terroristes » qui avaient réussi à s'introduire en Israël avant d'y être abattus.
Depuis la chute du président égyptien Hosni Moubarak, la région du Sinaï est de moins en moins contrôlée. Des groupes islamistes tentent de s'en prendre au territoire israélien tout proche.
Après l'attaque de dimanche, le nouveau président Mohamed Morsi avait assuré que des « instructions claires » avaient été données pour reprendre « le contrôle total du Sinaï ».
Au détriment des Palestiniens, le terminal de Rafah, unique point de passage entre la bande de Gaza et le monde extérieur à ne pas être contrôlé par Israël, a également été fermé par l'Egypte.
L'identité des « terroristes » de dimanche reste inconnue mais les Frères musulmans, dont est issu Mohamed Morsi, ont accusé le Mossad, les services secrets israéliens, d'être derrière l'attaque...
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L’Egypte allège le blocus contre Gaza
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L'offensive militaire a été lancée après la mort de 16 gardes-frontières égyptiens dimanche 5 août par des « terroristes » qui avaient réussi à s'introduire en Israël avant d'y être abattus.
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