Mardi, l'ex-Premier ministre du Pakistan Benazir Bhutto a réclamé pour la première fois la démission du président Pervez Musharraf qui l'a faite assigner à résidence pour la seconde fois en cinq jours.
"Musharraf constitue lui-même une barrière sur la route de la démocratie", a-t-elle dit dans une interview téléphonique à la chaîne privée Geo-TV depuis la maison de Lahore où elle est assignée à résidence. "Pour sauver le Pakistan, Musharraf doit démissionner".
Interrogée pour savoir si elle accepterait d'entrer dans un gouvernement désigné par Musharraf, l'ancien Premier ministre a simplement répondu: "non".
"Musharraf constitue lui-même une barrière sur la route de la démocratie", a-t-elle dit dans une interview téléphonique à la chaîne privée Geo-TV depuis la maison de Lahore où elle est assignée à résidence. "Pour sauver le Pakistan, Musharraf doit démissionner".
Interrogée pour savoir si elle accepterait d'entrer dans un gouvernement désigné par Musharraf, l'ancien Premier ministre a simplement répondu: "non".