Quelques vers d’un chrétien en hommage à la femme
Qui a, de son amour, su attiser la flamme
Du dernier des Prophètes, le plus grand celui-là
Qui a fondé l’islam, elle était Khadija.
Les incultes racistes ne savent pas l’Histoire
Ils voient les musulmanes terrées dans leurs armoires
Alors qu’elles sont les mères, les piliers, la raison
Qu’elles gèrent les affaires, les enfants, la maison.
Dans cette propagande qui avilie l’islam
On entend tout les jours qu’on opprime la femme
Alors qu’elles sont au cœur même de la religion
Elles sont des mères, des femmes, la loi et la passion.
C’est vrai qu’en Arabie, tout est patriarcal
Mais à part quelques sots aux thèses radicales
Les femmes sont, c’est sûr, Aragon l’avait dit
L’avenir de leurs hommes, leurs fils ou leurs maris.
Hommage à Khadija car même avant l’Hégire
C’est elle qui a aimé, c’est elle qui a su dire
Que les désirs de Dieu devaient être exprimés
Elle était la conscience de son mari sacré.
Du Prophète et sa femme ont survécu les filles
Et en fermant les yeux, je rêve leur famille
J’imagine la joie, les rires, la sainteté
Et je comprends l’amour qu’ils ont su exprimer
Qui a, de son amour, su attiser la flamme
Du dernier des Prophètes, le plus grand celui-là
Qui a fondé l’islam, elle était Khadija.
Les incultes racistes ne savent pas l’Histoire
Ils voient les musulmanes terrées dans leurs armoires
Alors qu’elles sont les mères, les piliers, la raison
Qu’elles gèrent les affaires, les enfants, la maison.
Dans cette propagande qui avilie l’islam
On entend tout les jours qu’on opprime la femme
Alors qu’elles sont au cœur même de la religion
Elles sont des mères, des femmes, la loi et la passion.
C’est vrai qu’en Arabie, tout est patriarcal
Mais à part quelques sots aux thèses radicales
Les femmes sont, c’est sûr, Aragon l’avait dit
L’avenir de leurs hommes, leurs fils ou leurs maris.
Hommage à Khadija car même avant l’Hégire
C’est elle qui a aimé, c’est elle qui a su dire
Que les désirs de Dieu devaient être exprimés
Elle était la conscience de son mari sacré.
Du Prophète et sa femme ont survécu les filles
Et en fermant les yeux, je rêve leur famille
J’imagine la joie, les rires, la sainteté
Et je comprends l’amour qu’ils ont su exprimer