Éteindre la télé et enfin réfléchir.
Ne plus laisser ce flot incessant d’émotions
Qui sapent mon moral entravent ma raison.
Éteindre la télé et enfin réfléchir.
Et ces images affreuses où s’étalent les corps
Et cette complaisance à nous montrer la mort
Éteindre la télé et enfin réfléchir.
Et ces peurs qu’on attise dans l’espoir du chaos
Ces pseudos-analyses me sortent par la peau
Éteindre la télé et enfin réfléchir.
Et ces gens corrompus, ces parfums de scandales
Et nos espoirs déçus, nos rêves qu’on rend sales.
Éteindre la télé et enfin réfléchir.
Chercher dans la fiction un peu de réconfort
Parce que tout est vicié, sali même le sport.
Éteindre la télé et enfin réfléchir.
On glorifie l’argent, on moque la décence
On nivelle par le bas nos vies nos espérances.
Éteindre la télé et enfin réfléchir.
Lorsque le mot réforme signifie pauvreté
Lorsque l’on nous informe qu’on devra sacrifier.
Éteindre la télé et enfin réfléchir.
Alors je prends ma plume, lecteur je pense à toi
Je ne suis pas tout seul, je t’en prie dis le moi…
Ne plus laisser ce flot incessant d’émotions
Qui sapent mon moral entravent ma raison.
Éteindre la télé et enfin réfléchir.
Et ces images affreuses où s’étalent les corps
Et cette complaisance à nous montrer la mort
Éteindre la télé et enfin réfléchir.
Et ces peurs qu’on attise dans l’espoir du chaos
Ces pseudos-analyses me sortent par la peau
Éteindre la télé et enfin réfléchir.
Et ces gens corrompus, ces parfums de scandales
Et nos espoirs déçus, nos rêves qu’on rend sales.
Éteindre la télé et enfin réfléchir.
Chercher dans la fiction un peu de réconfort
Parce que tout est vicié, sali même le sport.
Éteindre la télé et enfin réfléchir.
On glorifie l’argent, on moque la décence
On nivelle par le bas nos vies nos espérances.
Éteindre la télé et enfin réfléchir.
Lorsque le mot réforme signifie pauvreté
Lorsque l’on nous informe qu’on devra sacrifier.
Éteindre la télé et enfin réfléchir.
Alors je prends ma plume, lecteur je pense à toi
Je ne suis pas tout seul, je t’en prie dis le moi…