La récupération politique par la droite de la manifestation anti-américaine, samedi 15 septembre à Paris est en cours. Jean-François Copé ne badine pas avec les mots. Le secrétaire général de l'UMP, également député-maire de Meaux, a demandé, lundi 17 septembre, que les étrangers en situation irrégulière qui auraient participé à la manifestation soient aussitôt expulsés.
« Je demande maintenant que François Hollande affiche la plus grande fermeté dans les actes. Par exemple, il me paraît indispensable que, dans la manifestation, s'il a été établi qu'étaient présents des manifestants étrangers en situation irrégulière, ils fassent l'objet d'une expulsion immédiate », a-t-il déclaré au Talk Orange-Le Figaro.
« Il faut que toute la lumière soit faite sur les raisons qui ont pu conduire à ce qu'une manifestation non déclarée, à quelques encablures de l'Elysée, puisse se tenir avec des comportements, des propos, des actes qui sont inacceptables et qui doivent donner lieu évidemment à enquête et sanctions pour les manifestants, le cas échéant », a lancé le candidat à la présidence de l’UMP.
Après les déclarations fermes du ministre de l'Intérieur Manuel Valls, d'autres réactions de la classe politique ne se sont pas faites attendre. Faisant sa rentrée médiatique, Marine Le Pen a déclaré s'inquiéter « des investissements qu'effectue le Qatar avec la bénédiction de notre gouvernement dans les banlieues françaises, où évidemment le but n'est pas un but humanitaire mais un but politique ». « Demain, ça n'est pas 250 personnes qui manifesteront" dans Paris, mais i[« peut-être 100.000 ». Avec elle, la menace islamiste fait son come-back.
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« Je demande maintenant que François Hollande affiche la plus grande fermeté dans les actes. Par exemple, il me paraît indispensable que, dans la manifestation, s'il a été établi qu'étaient présents des manifestants étrangers en situation irrégulière, ils fassent l'objet d'une expulsion immédiate », a-t-il déclaré au Talk Orange-Le Figaro.
« Il faut que toute la lumière soit faite sur les raisons qui ont pu conduire à ce qu'une manifestation non déclarée, à quelques encablures de l'Elysée, puisse se tenir avec des comportements, des propos, des actes qui sont inacceptables et qui doivent donner lieu évidemment à enquête et sanctions pour les manifestants, le cas échéant », a lancé le candidat à la présidence de l’UMP.
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