Après les heurts survenus à Amsterdam, Emmanuel Macron a fait savoir, dimanche 10 novembre, qu'il assistera au match France - Israël prévu jeudi 14 novembre au Stade de France dans le cadre de la Ligue des nations.
Il entend, selon l'entourage du chef de l'Etat, « afficher son plein et entier soutien à l'équipe de France, comme il le fait à chaque match » mais aussi « envoyer un message de fraternité et de solidarité après les actes antisémites intolérables qui ont suivi le match à Amsterdam ».
Les autorités israéliennes ont appelé, dimanche 10 novembre, ses ressortissants à éviter de se rendre au match. Ce même jour, le préfet de police, Laurent Nunez, a indiqué sur BFM TV que la rencontre verra se mobiliser quelque 4 000 membres des forces de l'ordre.
Par ailleurs, le drapeau palestinien sera interdit dans l’enceinte du stade. « Il ne peut pas y avoir de message à caractère politique, c’est la loi », a-t-il justifié. Seuls les drapeaux français et israéliens seront autorisés. Il a également déclaré que le gala pro-israélien prévu mercredi 13 novembre à Paris ne sera pas interdit malgré les nombreux appels à interdire cette manifestation qui verra la venue du ministre israélien d’extrême droite, Bezalel Smotrich.
Le dernier bilan fait état d'au moins 43 500 morts à Gaza, où la catastrophe humanitaire continue au grand dam des acteurs humanitaires et des défenseurs des droits humains.
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Il entend, selon l'entourage du chef de l'Etat, « afficher son plein et entier soutien à l'équipe de France, comme il le fait à chaque match » mais aussi « envoyer un message de fraternité et de solidarité après les actes antisémites intolérables qui ont suivi le match à Amsterdam ».
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