L'écrivain colombien Gabriel Garcia Marquez est décédé, jeudi 17 avril, à son domicile de Mexico, à l'âge de 87 ans. Hospitalisé dernièrement, il a succombé à un cancer lymphatique. L'homme est considéré comme l'un des plus grands écrivains latino-américains. Prix Nobel de littérature en 1982, il s'est notamment illustré avec son roman mondialement connu Cent ans de solitude, paru en 1967.
Né en 1927 sur la côte Caraïbe de la Colombie, Gabriel Garcia Marquez démarre une carrière de journaliste qui lui permet de voyager en Europe en tant que correspondant étranger dans les années 1950. L'homme part ensuite s'installer à Mexico, où il consacre une bonne partie de son temps à l'écriture de fiction. Cent ans de solitude est son premier grand succès mondial. Ses ouvrages Chronique d'une mort annoncée, en 1981, et L'Amour aux temps du choléra, en 1985, sont d'autres succès de l'écrivain, consacré en 1982 lorsqu'il obtient le Nobel de la littérature.
L'homme de lettres s'est également illustré dans le monde politique, en jouant le rôle de médiateur entre le gouvernement colombien et la guérilla composée notamment des FARC. Il devient, par ailleurs, un fidèle proche du dirigeant cubain Fidel Castro, qu'il rencontre pour la première fois en 1975.
Il a résolument marqué son temps. « Avec la mort de Gabriel Garcia Marquez, le monde a perdu un de ses plus grands écrivains visionnaires, et l'un de mes préférés quand j'étais jeune », a réagi Barack Obama. Pour François Hollande, « disparaît un géant de l’écriture qui a donné un rayonnement mondial à l'imaginaire de tout un continent ». Par voie de communiqué, le président français a également rendu hommage à « son infatigable combat contre l'impérialisme ».
En Colombie, trois jours de deuil national ont été décrétés. La dépouille de l'écrivain pourrait être acheminée vers son pays natal.
Né en 1927 sur la côte Caraïbe de la Colombie, Gabriel Garcia Marquez démarre une carrière de journaliste qui lui permet de voyager en Europe en tant que correspondant étranger dans les années 1950. L'homme part ensuite s'installer à Mexico, où il consacre une bonne partie de son temps à l'écriture de fiction. Cent ans de solitude est son premier grand succès mondial. Ses ouvrages Chronique d'une mort annoncée, en 1981, et L'Amour aux temps du choléra, en 1985, sont d'autres succès de l'écrivain, consacré en 1982 lorsqu'il obtient le Nobel de la littérature.
L'homme de lettres s'est également illustré dans le monde politique, en jouant le rôle de médiateur entre le gouvernement colombien et la guérilla composée notamment des FARC. Il devient, par ailleurs, un fidèle proche du dirigeant cubain Fidel Castro, qu'il rencontre pour la première fois en 1975.
Il a résolument marqué son temps. « Avec la mort de Gabriel Garcia Marquez, le monde a perdu un de ses plus grands écrivains visionnaires, et l'un de mes préférés quand j'étais jeune », a réagi Barack Obama. Pour François Hollande, « disparaît un géant de l’écriture qui a donné un rayonnement mondial à l'imaginaire de tout un continent ». Par voie de communiqué, le président français a également rendu hommage à « son infatigable combat contre l'impérialisme ».
En Colombie, trois jours de deuil national ont été décrétés. La dépouille de l'écrivain pourrait être acheminée vers son pays natal.