« Notre liberté est incomplète sans la liberté des Palestiniens. » Cette célèbre phrase de feu Nelson Mandela résonne encore aujourd'hui avec force en Afrique du Sud, qui demeure un soutien constant de la cause palestinienne. Alors qu'Israël a annoncé une guerre longue contre Gaza, la Cour internationale de justice (CIJ) a annoncé, vendredi 29 décembre, que l'Afrique du Sud lui avait soumis une requête accusant Israël de se livrer à des « actes de génocide contre le peuple palestinien à Gaza ».
Dans sa requête, Pretoria affirme que les « actes et omissions d'Israël revêtent un caractère génocidaire, car ils s'accompagnent de l'intention spécifique requise (...) de détruire les Palestiniens de Gaza en tant que partie du groupe national, racial et ethnique plus large des Palestiniens », a fait part dans un communiqué la CIJ, basée à La Haye, aux Pays-Bas.
En conséquence, l'organe judiciaire est appelé à prendre des mesures urgentes visant à « protéger le peuple palestinien à Gaza » contre un État qui commet un génocide « en violation manifeste de la Convention sur le génocide ».
Sans surprise, le gouvernement israélien réfute les accusations à son encontre. En réaction à cette annonce, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a affirmé que la « guerre défensive » menée par son armée dans la bande de Gaza était « d'une justice et d'une moralité sans équivalent » et a appelé la CIJ à « rejeter complètement les accusations infondées de l'Afrique du Sud ».
A ce jour, le bilan humain à Gaza est porté à plus de 22 000 morts.
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En conséquence, l'organe judiciaire est appelé à prendre des mesures urgentes visant à « protéger le peuple palestinien à Gaza » contre un État qui commet un génocide « en violation manifeste de la Convention sur le génocide ».
Sans surprise, le gouvernement israélien réfute les accusations à son encontre. En réaction à cette annonce, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a affirmé que la « guerre défensive » menée par son armée dans la bande de Gaza était « d'une justice et d'une moralité sans équivalent » et a appelé la CIJ à « rejeter complètement les accusations infondées de l'Afrique du Sud ».
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