Les autorités saoudiennes ont promis d'assurer la sécurité des deux millions de pèlerins musulmans attendus à partir de lundi pour le hajj, le grand pèlerinage annuel de La Mecque.
« Nous ferons tout notre possible pour garantir la sécurité (...) des invités de Dieu », a déclaré le prince Nayef, ministre de l'Intérieur, samedi soir sur le site de la plaine d'Arafat où les pèlerins passeront la journée de mardi.
Le hajj, l'une des plus importantes manifestations religieuses de masse au monde, a été endeuillé les années passées par des incendies de réchauds et de tentes, l'effondrement d'hôtels et de passerelles, des accrochages entre policiers et manifestants et des bousculades géantes dues à la surfréquentation.
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad participera au pèlerinage cette année, ce qui pourrait également donner lieu à des manifestations politiques militantes très peu appréciées des autorités du royaume conservateur.
Le prince Nayef, qui a pris la parole après un défilé des 50 000 membres des forces de l'ordre qui assureront la sécurité des pèlerins, a déclaré qu'aucun dispositif particulier n'avait été prévu pour la venue du dirigeant iranien, dont le pays est engagé dans un bras de fer diplomatique avec les puissances occidentales à propos de son programme nucléaire.
Au total, 11 000 médecins, infirmiers et agents para-médicaux sont mobilisés pour apporter une assistance aux pèlerins dans 21 hôpitaux et 145 dispensaires d'une capacité totale de 4.200 lits dans les lieux saints de La Mecque, de Mina et du Mont Arafat, selon les responsables.
Le prince Nayef a souligné que de nouveaux travaux avaient été effectués sur le pont de Djamarat, à Mina, où se tient le rite de la lapidation des trois stèles qui marquent l'endroit où Satan aurait tenté Abraham.
En janvier 2006, 326 pèlerins avaient péri écrasés du fait de la surfréquentation du pont, l'accident le plus meurtrier survenu lors du "hajj" depuis 16 ans.
« Nous ferons tout notre possible pour garantir la sécurité (...) des invités de Dieu », a déclaré le prince Nayef, ministre de l'Intérieur, samedi soir sur le site de la plaine d'Arafat où les pèlerins passeront la journée de mardi.
Le hajj, l'une des plus importantes manifestations religieuses de masse au monde, a été endeuillé les années passées par des incendies de réchauds et de tentes, l'effondrement d'hôtels et de passerelles, des accrochages entre policiers et manifestants et des bousculades géantes dues à la surfréquentation.
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad participera au pèlerinage cette année, ce qui pourrait également donner lieu à des manifestations politiques militantes très peu appréciées des autorités du royaume conservateur.
Le prince Nayef, qui a pris la parole après un défilé des 50 000 membres des forces de l'ordre qui assureront la sécurité des pèlerins, a déclaré qu'aucun dispositif particulier n'avait été prévu pour la venue du dirigeant iranien, dont le pays est engagé dans un bras de fer diplomatique avec les puissances occidentales à propos de son programme nucléaire.
Au total, 11 000 médecins, infirmiers et agents para-médicaux sont mobilisés pour apporter une assistance aux pèlerins dans 21 hôpitaux et 145 dispensaires d'une capacité totale de 4.200 lits dans les lieux saints de La Mecque, de Mina et du Mont Arafat, selon les responsables.
Le prince Nayef a souligné que de nouveaux travaux avaient été effectués sur le pont de Djamarat, à Mina, où se tient le rite de la lapidation des trois stèles qui marquent l'endroit où Satan aurait tenté Abraham.
En janvier 2006, 326 pèlerins avaient péri écrasés du fait de la surfréquentation du pont, l'accident le plus meurtrier survenu lors du "hajj" depuis 16 ans.