Je sais, c’est bien connu, je suis trop romantique
Et c’est vrai, mes amours sont un brin pathétiques
Mais s’il est un reproche qu’on ne peut pas me faire,
C’est de traiter les femmes comme un pauvre pervers.
A mes yeux, toute femme mérite le respect
Et j’abhorre tous ceux qui ne savent traiter
Leurs mamans ou leurs filles, leurs amies, leurs amantes
Qu’à travers le mépris ou de façon blessante.
La femme est un totem et son corps est sacré.
Ne serait-ce que parce que c’est là que la vie naît
Et quelque soit son âge, ses choix ou ses envies,
En respectant la femme, on vénère la vie.
A mes yeux, de son corps, chaque femme est un temple
J’aimerais pour cela servir un peu d’exemple.
Maltraiter une femme, c’est venir profaner
Ce que la création a fait de plus sacrée.
Quand je suis amoureux, parfois dans mon délire
Je me vois officiant et souvent je désire
Que nos deux corps mêlés deviennent en leur fusion
Ce fragment d’infini qu’on nomme communion.
Et c’est vrai, mes amours sont un brin pathétiques
Mais s’il est un reproche qu’on ne peut pas me faire,
C’est de traiter les femmes comme un pauvre pervers.
A mes yeux, toute femme mérite le respect
Et j’abhorre tous ceux qui ne savent traiter
Leurs mamans ou leurs filles, leurs amies, leurs amantes
Qu’à travers le mépris ou de façon blessante.
La femme est un totem et son corps est sacré.
Ne serait-ce que parce que c’est là que la vie naît
Et quelque soit son âge, ses choix ou ses envies,
En respectant la femme, on vénère la vie.
A mes yeux, de son corps, chaque femme est un temple
J’aimerais pour cela servir un peu d’exemple.
Maltraiter une femme, c’est venir profaner
Ce que la création a fait de plus sacrée.
Quand je suis amoureux, parfois dans mon délire
Je me vois officiant et souvent je désire
Que nos deux corps mêlés deviennent en leur fusion
Ce fragment d’infini qu’on nomme communion.