Selon un communiqué reçu samedi par l'AFP à Nouakchott, près de vingt tour-opérateurs français ont décidé de maintenir leurs voyages en Mauritanie affirmant ne pas comprendre "la prise de position" de la France qui a "fortement déconseillé" cette destination jeudi.
Point-Afrique Voyages, par ailleurs affréteur, et dix-sept des tour-opérateurs (TO) partenaires "décident, après mûre réflexion, de maintenir la destination Mauritanie, mais de laisser le choix à tous nos clients", déclarent-ils dans un communiqué conjoint.
"Nous ne comprenons pas la prise de position du gouvernement français, étant donné qu'aucun élément supplémentaire quant à l'insécurité en Mauritanie ne nous est parvenu", affirment-ils.
En outre, ajoutent-ils, l'Adrar mauritanien, principale destination touristique dans le nord de la Mauritanie, "est une zone où aucune exaction n'a pu être constatée, (et) nos partenaires mauritaniens nous rassurent quant au climat sur place et aux conditions sécuritaires".
En revanche, trois tour-opérateurs français du tourisme d'aventure, Voyageurs du Monde, Allibert et Club Aventure, ont maintenu samedi leur décision de suspendre leurs départs vers la Mauritanie.
Le PDG de Voyageurs du Monde, Jean-François Rial, évoque une "mesure de précaution" dans un contexte "peu clair qui ne permet pas de juger de la sécurité en Mauritanie".
Le 3 janvier, le porte-parole du gouvernement français Laurent Wauquiez, a annoncé que son pays déconseillait "fortement" à ses ressortissants de se rendre en Mauritanie, dix jours après l'assassinat de quatre touristes français dans ce pays.
Il avait précisé que l'appel était valable "pour tous les Français, y compris ceux qui font le rallye" Dakar, dont les organisateurs ont finalement annoncé vendredi l'annulation pour raison de sécurité.
Point-Afrique Voyages, par ailleurs affréteur, et dix-sept des tour-opérateurs (TO) partenaires "décident, après mûre réflexion, de maintenir la destination Mauritanie, mais de laisser le choix à tous nos clients", déclarent-ils dans un communiqué conjoint.
"Nous ne comprenons pas la prise de position du gouvernement français, étant donné qu'aucun élément supplémentaire quant à l'insécurité en Mauritanie ne nous est parvenu", affirment-ils.
En outre, ajoutent-ils, l'Adrar mauritanien, principale destination touristique dans le nord de la Mauritanie, "est une zone où aucune exaction n'a pu être constatée, (et) nos partenaires mauritaniens nous rassurent quant au climat sur place et aux conditions sécuritaires".
En revanche, trois tour-opérateurs français du tourisme d'aventure, Voyageurs du Monde, Allibert et Club Aventure, ont maintenu samedi leur décision de suspendre leurs départs vers la Mauritanie.
Le PDG de Voyageurs du Monde, Jean-François Rial, évoque une "mesure de précaution" dans un contexte "peu clair qui ne permet pas de juger de la sécurité en Mauritanie".
Le 3 janvier, le porte-parole du gouvernement français Laurent Wauquiez, a annoncé que son pays déconseillait "fortement" à ses ressortissants de se rendre en Mauritanie, dix jours après l'assassinat de quatre touristes français dans ce pays.
Il avait précisé que l'appel était valable "pour tous les Français, y compris ceux qui font le rallye" Dakar, dont les organisateurs ont finalement annoncé vendredi l'annulation pour raison de sécurité.