Les pluies torrentielles de la mousson au Pakistan et dans le nord de l’Inde ont fait plus de 300 morts, ont annoncé dimanche 7 septembre les autorités des deux pays. La plupart des morts ont été causées par des glissements de terrain, des effondrements de toit et des électrocutions, dans les régions du Penjab et du Cachemire, à cheval sur la frontière.
L’armée a été déployée dans les deux pays pour participer aux opérations de secours et venir en aide aux populations piégées par la montée soudaine des eaux. Les personnes piégées par les eaux se sont parfois réfugiées sur les toits des habitations ou ont grimpé aux arbres, et les ponts et les moyens de communications des zones touchées par les inondations ont été détruits.
En Inde, 175 morts ont été recensés, et déjà 20 000 personnes ont été secourues. Le Premier ministre indien Narender Modi a qualifié la situation de « désastre de niveau national », tandis que les médias indiens évoquent « les pires (inondations) en six décennies ».
Narender Modi a offert l’aide de son pays aux Pakistanais vivant à la frontière, alors que les deux pays sont ennemis. Au Pakistan, le bilan atteint 193 morts, durant les trois derniers jours. Le Premier ministre Nawaz Sharif a promis une mobilisation totale pour aider la population en détresse.
Depuis quatre ans, le Pakistan subit des inondations meurtrières à chaque mousson. En 2010, le pays avait été le théâtre d’une crise humanitaire majeure, après que les pires inondations de l’histoire du pays eurent causé la mort de 1 800 personnes et affecté 21 millions de Pakistanais.
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