Le Premier ministre irakien, Nouri al Maliki, a annoncé qu'il allait libérer 2500 prisonniers détenus par erreur ou malgré l'absence de preuves convaincantes à leur encontre. "Ceux qui seront libérés ne sont ni des fidèles de Saddam Hussein ni des terroristes et ils n'ont pas non plus de sang irakien sur les mains", a expliqué Maliki, qui a pris ses fonctions le 20 mai à la tête d'un gouvernement d'union nationale, en s'engageant à réconcilier les différentes communautés et à en finir avec l'insurrection sunnite.
"Ceux qui ont commis des meurtres ou des attentats ne seront pas libérés et n'auront pas le droit de l'être", a continué Maliki. Dans un premier temps, 500 personnes seront libérées mercredi, a-t-il dit. Bon nombre des personnes emprisonnées sont membres de la communauté sunnite.
Les prisonniers, a-t-il indiqué, seront libérés de centres de détention américains comme de prisons irakiennes. Dans un rapport critique sur la situation des droits de l'homme en Irak, les Nations unies ont déclaré en mai qu'il y avait 28.700 prisonniers en Irak, dont 5.000 sous la garde du ministère de l'Intérieur.
Maliki a déclaré par ailleurs mardi qu'aucun nom n'avait été soumis au parlement dimanche dernier pour les portefeuilles de la Défense et de l'Intérieur, comme cela avait pourtant été prévu, parce que le quorum de députés nécessaire pour procéder au vote n'était pas atteint.
"Ceux qui ont commis des meurtres ou des attentats ne seront pas libérés et n'auront pas le droit de l'être", a continué Maliki. Dans un premier temps, 500 personnes seront libérées mercredi, a-t-il dit. Bon nombre des personnes emprisonnées sont membres de la communauté sunnite.
Les prisonniers, a-t-il indiqué, seront libérés de centres de détention américains comme de prisons irakiennes. Dans un rapport critique sur la situation des droits de l'homme en Irak, les Nations unies ont déclaré en mai qu'il y avait 28.700 prisonniers en Irak, dont 5.000 sous la garde du ministère de l'Intérieur.
Maliki a déclaré par ailleurs mardi qu'aucun nom n'avait été soumis au parlement dimanche dernier pour les portefeuilles de la Défense et de l'Intérieur, comme cela avait pourtant été prévu, parce que le quorum de députés nécessaire pour procéder au vote n'était pas atteint.