Dieu dit dans le Coran : « Puis quand la salat est achevée, dispersez-vous sur la Terre, et recherchez (quelque effet) de la grâce de Dieu, et invoquez beaucoup Dieu afin que vous réussissiez » (s. 62, v. 10).
A travers ce passage, on comprend alors que l’acquisition d’un travail soit fondamental pour la vie de tout homme, particulièrement pour celle du croyant, car celui-ci doit lui permettre de mieux adorer son Seigneur. En effet, l’argent que le croyant gagne par son travail doit lui permettre de prendre en charge d’abord sa famille, ses parents, ses proches parents, ses voisins, aider les orphelins, ses amis, ses collègues qui sont dans le besoin.
Il ne doit nullement dépenser son argent dans l’intempérance et doit savoir que si Dieu lui donne de l’argent en abondance, c’est pour qu’il fasse preuve de largesse envers toutes les personnes qui se trouvent dans le besoin et qu’il peut aider.
Dieu nous exhorte dans ce sens : « Adorez Dieu et ne Lui donnez aucun associé. Agissez avec bonté envers (vos) père et mère, les proches, les orphelins, les pauvres, le proche voisin, le voisin lointain, le collègue et le voyageur et les esclaves en votre possession, car Dieu n’aime pas, en vérité, le présomptueux, l’arrogant. Ceux qui sont avares et ordonnent l’avarice aux autres et cachent ce que Dieu leur a donné de par Sa grâce. Nous avons préparé un châtiment avilissant pour les négateurs. Et ceux qui dépensent leurs biens avec ostentation devant les gens et ne croient ni en Dieu ni au Jour dernier. Quiconque a le Diable pour camarade inséparable, quel mauvais camarade ! » (s. 4, v. 36-38).
A travers ce passage, on comprend alors que l’acquisition d’un travail soit fondamental pour la vie de tout homme, particulièrement pour celle du croyant, car celui-ci doit lui permettre de mieux adorer son Seigneur. En effet, l’argent que le croyant gagne par son travail doit lui permettre de prendre en charge d’abord sa famille, ses parents, ses proches parents, ses voisins, aider les orphelins, ses amis, ses collègues qui sont dans le besoin.
Il ne doit nullement dépenser son argent dans l’intempérance et doit savoir que si Dieu lui donne de l’argent en abondance, c’est pour qu’il fasse preuve de largesse envers toutes les personnes qui se trouvent dans le besoin et qu’il peut aider.
Dieu nous exhorte dans ce sens : « Adorez Dieu et ne Lui donnez aucun associé. Agissez avec bonté envers (vos) père et mère, les proches, les orphelins, les pauvres, le proche voisin, le voisin lointain, le collègue et le voyageur et les esclaves en votre possession, car Dieu n’aime pas, en vérité, le présomptueux, l’arrogant. Ceux qui sont avares et ordonnent l’avarice aux autres et cachent ce que Dieu leur a donné de par Sa grâce. Nous avons préparé un châtiment avilissant pour les négateurs. Et ceux qui dépensent leurs biens avec ostentation devant les gens et ne croient ni en Dieu ni au Jour dernier. Quiconque a le Diable pour camarade inséparable, quel mauvais camarade ! » (s. 4, v. 36-38).
S’élever dans le mérite
Un croyant doit faire tout son possible pour être à l’abri du besoin, il ne doit pas opter pour la facilité, c’est-à-dire être quelqu’un qui sollicite tout le temps les autres sans même essayer de se battre pour gagner sa propre vie. Le Prophète (PSL) a dit dans ce sens : « Personne n’a jamais mangé une nourriture meilleure que celle qu’il a gagné du travail de ses mains. » (rapporté par Boukhâri).
Donc, le croyant ne doit pas tout attendre des autres, il doit toujours croire en lui et se battre dans le travail pour s’élever dans le mérite. Nul ne doit ignorer que Dieu nous a tous mis dans des dispositions qui nous permettent de devenir le genre d’homme que nous voulons devenir dans ce monde. En effet, le monde est très grand pour que chaque homme sans exception devienne le genre d’homme qu’il veut devenir.
Certes, certains auront plus de mal à réussir que les autres, mais souvent la souris aussi se cogne plusieurs fois sur le mur avant de trouver le labyrinthe. C’est ça aussi la vie : certaines personnes vont vivre dans la misère avant de trouver la prospérité, tandis que d’autres vont naitre avec une cuillère en or entre les mains, mais, quelle que soit la dureté de la vie, il faut toujours rester digne et gagner proprement sa vie, de manière juste et saine, sans corruption, ni vol, ni recèlement, ni usure, ni vente de choses illicites, ni détournement, ni chantage, etc., et comprendre que l’homme ne partira jamais de la Terre sans que ne se réalise ce que Dieu a déjà décidé sur lui, c’est-à-dire son destin. Comme Il le dit dans le Coran : « (…) Il le crée et détermine son destin » (s. 80, v. 19).
Donc, le croyant ne doit pas tout attendre des autres, il doit toujours croire en lui et se battre dans le travail pour s’élever dans le mérite. Nul ne doit ignorer que Dieu nous a tous mis dans des dispositions qui nous permettent de devenir le genre d’homme que nous voulons devenir dans ce monde. En effet, le monde est très grand pour que chaque homme sans exception devienne le genre d’homme qu’il veut devenir.
Certes, certains auront plus de mal à réussir que les autres, mais souvent la souris aussi se cogne plusieurs fois sur le mur avant de trouver le labyrinthe. C’est ça aussi la vie : certaines personnes vont vivre dans la misère avant de trouver la prospérité, tandis que d’autres vont naitre avec une cuillère en or entre les mains, mais, quelle que soit la dureté de la vie, il faut toujours rester digne et gagner proprement sa vie, de manière juste et saine, sans corruption, ni vol, ni recèlement, ni usure, ni vente de choses illicites, ni détournement, ni chantage, etc., et comprendre que l’homme ne partira jamais de la Terre sans que ne se réalise ce que Dieu a déjà décidé sur lui, c’est-à-dire son destin. Comme Il le dit dans le Coran : « (…) Il le crée et détermine son destin » (s. 80, v. 19).
Choisir son chemin de vie et agir en responsablité
Cependant, pour le croyant, sa compréhension du destin doit être différente de celle des existentialistes athées pour qui, « l’essence de l’homme n’est définie ni par Dieu, ni par la nature. Il doit se définir lui-même, s’inventer », mais doit être une compréhension telle que ce qui arrive à l’homme devait nécessairement lui arriver et ce qui ne lui arrive pas encore, ce sont ses actions présentes qui vont les déterminer et c’est là où se situe toute la responsabilité de l’homme par rapport à ses actes.
Au moins sur ce dernier point, nous partageons cette affirmation avec les existentialistes, c’est-à-dire que l’homme est le seul responsable de ses actes. Donc, tout va dépendre de l’orientation qu’il va prendre et du chemin qu’il va emprunter. C’est pourquoi il est important pour lui de savoir d’abord où il va avant d’emprunter la voie qui va l’y mener.
Autrement dit, l’homme doit d’abord faire un choix et bien réfléchir sur ce choix avant de se fixer sur son objectif. Ce moment est un moment crucial dans la vie de l’homme et celle du croyant en particulier, car c’est à partir de ce moment qu’il va soit réussir, soit échouer sa vie. Après qu’il a choisi de mener sa vie vers telle ou telle direction, l’homme doit par la suite assumer son choix et comme on dit : « Choisir, c’est renoncer dans d’autres domaines. »
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Demba Seck est doctorant en sociologie et enseignant-chercheur à l’université Gaston-Berger de Saint-Louis du Sénégal.
Au moins sur ce dernier point, nous partageons cette affirmation avec les existentialistes, c’est-à-dire que l’homme est le seul responsable de ses actes. Donc, tout va dépendre de l’orientation qu’il va prendre et du chemin qu’il va emprunter. C’est pourquoi il est important pour lui de savoir d’abord où il va avant d’emprunter la voie qui va l’y mener.
Autrement dit, l’homme doit d’abord faire un choix et bien réfléchir sur ce choix avant de se fixer sur son objectif. Ce moment est un moment crucial dans la vie de l’homme et celle du croyant en particulier, car c’est à partir de ce moment qu’il va soit réussir, soit échouer sa vie. Après qu’il a choisi de mener sa vie vers telle ou telle direction, l’homme doit par la suite assumer son choix et comme on dit : « Choisir, c’est renoncer dans d’autres domaines. »
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Demba Seck est doctorant en sociologie et enseignant-chercheur à l’université Gaston-Berger de Saint-Louis du Sénégal.
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