Depuis l'attaque menée par le Hamas en Israël le 7 octobre, Meyer Habib se fait, avec de nombreuses personnalités politiques, le champion du soutien inconditionnel à Israël. Porche du Premier ministre Benjamin Netanyahou, le député (LR) de la 8e circonscription des Français à l’étranger dont fait partie l’Etat hébreu multiplie les propos outranciers pour défendre bec et ongles l'ensemble des actions et positions qu'adopte le gouvernement israélien.
Dernièrement, ce Franco-Israélien a affirmé, lors de l’audition de l’ancien ambassadeur de France en Israël, Gérard Araud, par la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, qu’« un juif ne sera jamais un colon en Judée ». Il s’était alors insurgé contre le diplomate, qui avait estimé qu’un « nettoyage ethnique » est en cours en Cisjordanie, où les violences des dernières semaines menées par les colons et l’armée israélienne ont fait plus de 200 morts côté palestinien.
Le Conseil français du culte musulman (CFCM), qui dénonce aussi « l’épuration ethnique » en Cisjordanie où « nul ne peut invoquer ici "le droit d’Israël à se défendre" contre les attaques du Hamas », a fait part, lundi 20 novembre, de ses inquiétudes quant aux prises de position de ces personnalités publiques françaises « qui tentent honteusement de justifier l’injustifiable » comme Meyer Habib, qui « répète depuis trop longtemps la rhétorique des colons extrémistes ».
« Comment un député français peut-il reprendre à son compte une position en violation du droit international, contraire à la position constante de la France ? Comment peut-on laisser impuni un député de la Nation qui importe le conflit israélo-palestinien sur notre sol en reprenant de telles positions extrémistes, illégales et dangereuses ? », s’est interrogée l’instance.
« Ceux qui font l’apologie du terrorisme ou des crimes de guerre contre les civils israéliens désarmés doivent être dénoncés et condamnés. Il doit en être de même pour ceux qui font l’apologie du terrorisme et des crimes de guerre contre les civils palestiniens désarmés », a-t-elle indiqué. « Notre conscience humaine doit nous amener, quelles que soient nos croyances et nos convictions, à nous opposer à toutes les atrocités qui sont commises aujourd’hui sous nos yeux. »
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Dernièrement, ce Franco-Israélien a affirmé, lors de l’audition de l’ancien ambassadeur de France en Israël, Gérard Araud, par la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, qu’« un juif ne sera jamais un colon en Judée ». Il s’était alors insurgé contre le diplomate, qui avait estimé qu’un « nettoyage ethnique » est en cours en Cisjordanie, où les violences des dernières semaines menées par les colons et l’armée israélienne ont fait plus de 200 morts côté palestinien.
Le Conseil français du culte musulman (CFCM), qui dénonce aussi « l’épuration ethnique » en Cisjordanie où « nul ne peut invoquer ici "le droit d’Israël à se défendre" contre les attaques du Hamas », a fait part, lundi 20 novembre, de ses inquiétudes quant aux prises de position de ces personnalités publiques françaises « qui tentent honteusement de justifier l’injustifiable » comme Meyer Habib, qui « répète depuis trop longtemps la rhétorique des colons extrémistes ».
« Comment un député français peut-il reprendre à son compte une position en violation du droit international, contraire à la position constante de la France ? Comment peut-on laisser impuni un député de la Nation qui importe le conflit israélo-palestinien sur notre sol en reprenant de telles positions extrémistes, illégales et dangereuses ? », s’est interrogée l’instance.
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