Le penseur syrien Jawdat Said est décédé dimanche 30 janvier à l'âge de 90 ans, a-t-on appris par le secrétaire général de l'Union internationale des savants musulmans, Ali Al-Qaradaghi, qui lui a rendu hommage sur les réseaux sociaux.
L'intellectuel, qui a fait de la non-violence une valeur cardinale - ce qui lui vaut le surnom du « Gandhi syrien » -, est décédé à Istanbul, où il vivait ces dernières années après avoir fui le régime de Bachar Al-Assad dont il a refusé de cautionner les agissements face à son peuple.
Le philosophe, admiratif du travail engagé par le penseur algérien Malek Bennabi, a d'ailleurs été le père spirituel de plusieurs mouvements non violents, en particulier à Darayya, dans la banlieue de Damas.
Portrait ici de Jawdat Said, l'apôtre de l’islam de la non-violence, par Viviana Schiavo, qui expose la pensée de l'intellectuel, auteur du livre La Doctrine du premier fils d’Adam : le problème de la violence dans l’action islamique en 1966.
L'intellectuel, qui a fait de la non-violence une valeur cardinale - ce qui lui vaut le surnom du « Gandhi syrien » -, est décédé à Istanbul, où il vivait ces dernières années après avoir fui le régime de Bachar Al-Assad dont il a refusé de cautionner les agissements face à son peuple.
Le philosophe, admiratif du travail engagé par le penseur algérien Malek Bennabi, a d'ailleurs été le père spirituel de plusieurs mouvements non violents, en particulier à Darayya, dans la banlieue de Damas.
Portrait ici de Jawdat Said, l'apôtre de l’islam de la non-violence, par Viviana Schiavo, qui expose la pensée de l'intellectuel, auteur du livre La Doctrine du premier fils d’Adam : le problème de la violence dans l’action islamique en 1966.