Jean-Marie Le Pen a fêté vendredi soir dans un petit village du Beaujolais le quatrième anniversaire du premier tour de l'élection présidentielle de 2002 qui l'avait vu éliminer Lionel Jospin et se qualifier pour le deuxième tour.
Les 750 places de la salle de fête de Saint-Laurent-d'Oingt avaient trouvé preneur pour cette soirée au cours de laquelle le président du Front national a assuré ses supporters de sa victoire en 2007.
"Nous allons mener une campagne populaire, sociale et nationale qui va nous conduire comme en 2002 au deuxième tour, mais aussi au troisième tour de l'élection", a-t-il lancé d'un voix essoufflée.
"Et ceci, non pas parce que nous en avons envie, mais parce que c'est un besoin vital dans ce pays au bord du marasme".
Jean-Marie Le Pen, qui refuse l'étiquette d'extrême-droite pour préférer désormais celle de "candidat néo-national", se voit bien l'année prochaine arriver au deuxième tour face à Lionel Jospin, le "candidat archéo-marxiste modernisé".
Dans une interview publiée vendredi dans le quotidien Le Progrès, le leader frontiste explique ne pas croire à la candidature de Ségolène Royal.
"Le candidat PS pourrait être Jospin, dit-il, les bourriquots du PS vont mettre les bâtons dans les roues de Ségolène."
Au cours d'un "dîner patriotique" organisé dans une restaurant espagnol tenu par des Portugais, dans une salle préalablement chauffée par son numéro 2 Bruno Gollnisch, Jean-Marie Le Pen a lancé un "appel à tous les Français, sans considération de religion et de race, à prendre conscience de l'importance de l'enjeu et à donner au pays une majorité parlementaire qui renvoie les gens responsables de la situation actuelle".
Il a qualifié "les gens qui ont dirigé notre pays de criminels". "Et plus criminels encore quand ils sont de droite que de gauche", a-t-il précisé en citant à titre d'exemple la politique d'immigration de la droite.
Jean-Marie Le Pen, qui avait choisi de venir fêter le 21 avril 2002 dans le Beaujolais où il a toujours enregistré d'excellents résultats électoraux, continuera sa campagne électorale samedi en rencontrant les viticulteurs frappés par la crise.
Les 750 places de la salle de fête de Saint-Laurent-d'Oingt avaient trouvé preneur pour cette soirée au cours de laquelle le président du Front national a assuré ses supporters de sa victoire en 2007.
"Nous allons mener une campagne populaire, sociale et nationale qui va nous conduire comme en 2002 au deuxième tour, mais aussi au troisième tour de l'élection", a-t-il lancé d'un voix essoufflée.
"Et ceci, non pas parce que nous en avons envie, mais parce que c'est un besoin vital dans ce pays au bord du marasme".
Jean-Marie Le Pen, qui refuse l'étiquette d'extrême-droite pour préférer désormais celle de "candidat néo-national", se voit bien l'année prochaine arriver au deuxième tour face à Lionel Jospin, le "candidat archéo-marxiste modernisé".
Dans une interview publiée vendredi dans le quotidien Le Progrès, le leader frontiste explique ne pas croire à la candidature de Ségolène Royal.
"Le candidat PS pourrait être Jospin, dit-il, les bourriquots du PS vont mettre les bâtons dans les roues de Ségolène."
Au cours d'un "dîner patriotique" organisé dans une restaurant espagnol tenu par des Portugais, dans une salle préalablement chauffée par son numéro 2 Bruno Gollnisch, Jean-Marie Le Pen a lancé un "appel à tous les Français, sans considération de religion et de race, à prendre conscience de l'importance de l'enjeu et à donner au pays une majorité parlementaire qui renvoie les gens responsables de la situation actuelle".
Il a qualifié "les gens qui ont dirigé notre pays de criminels". "Et plus criminels encore quand ils sont de droite que de gauche", a-t-il précisé en citant à titre d'exemple la politique d'immigration de la droite.
Jean-Marie Le Pen, qui avait choisi de venir fêter le 21 avril 2002 dans le Beaujolais où il a toujours enregistré d'excellents résultats électoraux, continuera sa campagne électorale samedi en rencontrant les viticulteurs frappés par la crise.