Une troisième édition riche en événements. Le festival hip hop Kalypso a ouvert ses portes le 5 novembre et les gardera ouvertes jusqu’au 20 décembre pour inviter le grand public à découvrir la danse urbaine sous toutes ses formes à travers 70 représentations à Paris et en région parisienne (Seine-Saint-Denis, Hauts-de-Seine et Val-de-Marne).
Kalypso accueille cette année plus de 28 compagnies et propose 33 spectacles différents répartis sur une dizaine de théâtres d’Ile-de-France. Parmi eux, le grand chapiteau de l’Académie Fratellini à Saint-Denis, la maison des Arts et de la Culture à Créteil, La Villette à Paris, le Théâtre Claude Debussy à Maisons-Alfort, la Maison des métallos à Paris et bien d’autres. Ce sont 225 artistes émergents et confirmés qui sont mobilisés dans ce cadre pour offrir « le plus vivant de leur création, de leur répertoire, de leur art ».
Avec plus de 10 000 spectateurs en 2013 et 19 000 en 2014, le festival Kalypso devient doucement - mais surement - événement incontournable de la culture hip hop. Nourris par l’ambition de mieux faire connaître cette discipline au grand public, le festival a su attirer de nouveaux spectateurs en allant à leur rencontre. Les premières cibles, les jeunes à qui il leur est proposé de participer à un master-class et à des ateliers dans des écoles et des Maisons des Jeunes et de la Culture.
Kalypso accueille cette année plus de 28 compagnies et propose 33 spectacles différents répartis sur une dizaine de théâtres d’Ile-de-France. Parmi eux, le grand chapiteau de l’Académie Fratellini à Saint-Denis, la maison des Arts et de la Culture à Créteil, La Villette à Paris, le Théâtre Claude Debussy à Maisons-Alfort, la Maison des métallos à Paris et bien d’autres. Ce sont 225 artistes émergents et confirmés qui sont mobilisés dans ce cadre pour offrir « le plus vivant de leur création, de leur répertoire, de leur art ».
Avec plus de 10 000 spectateurs en 2013 et 19 000 en 2014, le festival Kalypso devient doucement - mais surement - événement incontournable de la culture hip hop. Nourris par l’ambition de mieux faire connaître cette discipline au grand public, le festival a su attirer de nouveaux spectateurs en allant à leur rencontre. Les premières cibles, les jeunes à qui il leur est proposé de participer à un master-class et à des ateliers dans des écoles et des Maisons des Jeunes et de la Culture.
Plus qu’un simple festival, le projet Kalypso est selon, son créateur et directeur du Centre chorégraphique national de Créteil Mourad Merzouki, une occasion essentielle de « s’unir pour continuer à imaginer, rêver et créer ensemble et sans barrières, professionnels, amateurs et habitants de nos villes ».
Parce que 2015 est l’année de trentaine pour le hip hop français, Kalypso a naturellement organisé une soirée le samedi 21 novembre pour célébrer les 30 ans de cette culture artistique à travers ses origines, ses cinq disciplines (rap, beat box, Dj’ing, graffiti et danse) et ses valeurs.
Autre temps fort, le Marathon de la danse a été proposé à de nombreux établissements scolaires et équipements socioculturels pour sensibiliser les jeunes à la culture chorégraphique et au spectacle vivant. Plusieurs danseurs passeront d’un établissement à l’autre pour présenter sa discipline et répondre aux questions des élèves. Chaque soir, après les spectacles proposés en première partie de soirée à la Maison des Arts de Créteil, les spectateurs qui le souhaitent se voit donner la possibilité de diner avec les équipes artistiques et se familiariser ainsi avec leur univers. Un plan qui ne se refuse pas !
Parce que 2015 est l’année de trentaine pour le hip hop français, Kalypso a naturellement organisé une soirée le samedi 21 novembre pour célébrer les 30 ans de cette culture artistique à travers ses origines, ses cinq disciplines (rap, beat box, Dj’ing, graffiti et danse) et ses valeurs.
Autre temps fort, le Marathon de la danse a été proposé à de nombreux établissements scolaires et équipements socioculturels pour sensibiliser les jeunes à la culture chorégraphique et au spectacle vivant. Plusieurs danseurs passeront d’un établissement à l’autre pour présenter sa discipline et répondre aux questions des élèves. Chaque soir, après les spectacles proposés en première partie de soirée à la Maison des Arts de Créteil, les spectateurs qui le souhaitent se voit donner la possibilité de diner avec les équipes artistiques et se familiariser ainsi avec leur univers. Un plan qui ne se refuse pas !
Lire aussi :
Akhenaton : « Il faut des artistes qui prennent des risques et ouvrent des portes »
Akhenaton : « Le hip-hop, de la musique de divertissement à la culture révolutionnaire »
Great Black Music, une conscience musicale et politique transnationale
Du Bronx aux rues arabes, l’IMA se met à la culture hip-hop
« Empreintes » mêle danse hip-hop et calligraphie
Le hip-hop américain apporte son soutien à la révolution tunisienne
Festival H2O : la danse hip-hop squatte l’affiche dans le 93
Akhenaton : « Il faut des artistes qui prennent des risques et ouvrent des portes »
Akhenaton : « Le hip-hop, de la musique de divertissement à la culture révolutionnaire »
Great Black Music, une conscience musicale et politique transnationale
Du Bronx aux rues arabes, l’IMA se met à la culture hip-hop
« Empreintes » mêle danse hip-hop et calligraphie
Le hip-hop américain apporte son soutien à la révolution tunisienne
Festival H2O : la danse hip-hop squatte l’affiche dans le 93