Cheb Khaled revient sur scène le 18 avril, à la Cigale, et le 19 avril, au Bataclan, à Paris. (Photo : © Fifou)
Les fans du chanteur de raï Khaled − qui n’ont, pour la plupart, sans doute pas tenu rigueur du soutien de la star au président Bouteflika qui brigue un quatrième mandat à la présidence de l’Algérie – ont déjà retenu deux dates.
Le 18 avril, à la Cigale, et le 19 avril, au Bataclan : les deux salles mythiques parisiennes accueilleront en effet le plus international des Algériens, qui a acquis la nationalité marocaine, en août dernier, sur décret du roi Mohamed VI, tout en gardant la nationalité algérienne.
Des rendez-vous printaniers qui sonnent déjà le soleil et la bonne humeur. Après avoir enflammé l’Olympia l’an passé, le chanteur Cheb Khaled revient en avril avec deux concerts inédits. Il reprendra comme à son habitude ses chansons les plus connues : de l’avant-gardiste « Didi », en passant par l’hymne « Aicha », ou encore la nostalgique « Wahran wahran » et la dansante « Oueli el darek »…
Bien sûr, son dernier album, sorti en 2013 sera tout autant mis en avant, avec ses sonorités électroniques entre la dance et le raï n’b. Impossible de ne pas chanter à tue-tête « C’est la vie », lalalala. Et ça marche sur toutes les générations !
Sur scène, le chanteur sera accompagné de ses meilleurs musiciens, guitaristes, percussionnistes, batteur… même s’il ne pourra pas s’empêcher, comme à son habitude, de jouer quelques accords à l’accordéon, son instrument préféré.
Du grand Khaled attend donc les fans pour ces deux soirées parisiennes. Mais, attention, ne lui répétez pas, il ne doit pas savoir. Car, comme il nous le confie : « Je ne connais les dates de concert que la veille, voire le jour même de la soirée. Je suis beaucoup trop angoissé et stressé, cela m’empêcherait de vivre. Le jour même, impossible de manger quoique ce soit, tellement j’ai peur. Puis une fois sur scène, j’oublie tout, je me retrouve dans mon élément, prêt à tout donner ! »
Billets en vente sur www.livenation.fr
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Bien sûr, son dernier album, sorti en 2013 sera tout autant mis en avant, avec ses sonorités électroniques entre la dance et le raï n’b. Impossible de ne pas chanter à tue-tête « C’est la vie », lalalala. Et ça marche sur toutes les générations !
Sur scène, le chanteur sera accompagné de ses meilleurs musiciens, guitaristes, percussionnistes, batteur… même s’il ne pourra pas s’empêcher, comme à son habitude, de jouer quelques accords à l’accordéon, son instrument préféré.
Du grand Khaled attend donc les fans pour ces deux soirées parisiennes. Mais, attention, ne lui répétez pas, il ne doit pas savoir. Car, comme il nous le confie : « Je ne connais les dates de concert que la veille, voire le jour même de la soirée. Je suis beaucoup trop angoissé et stressé, cela m’empêcherait de vivre. Le jour même, impossible de manger quoique ce soit, tellement j’ai peur. Puis une fois sur scène, j’oublie tout, je me retrouve dans mon élément, prêt à tout donner ! »
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