L’Agence française de développement (AFD) s’ouvre à la finance islamique et se rapproche de la Banque islamique de développement (BID). Un accord de coopération a été signé le 18 janvier en Arabie Saoudite, à Djeddah, par le Dr. Ali Al-Madani, président de la BID, et par Dov Zerah, directeur général de l’AFD.
« Cet accord permet d'initier un dialogue sur la finance islamique, en particulier sur les questions de microfinance, au travers de partage d’expériences, d’études et de projets pilotes», apprend-t-on dans un communiqué paru mercredi 25 janvier.
Dans ce sens, une conférence sur la microfinance islamique sera organisé le 30 avril à Djeddah afin de valoriser les travaux de réflexion et de les partager avec les principales institutions investies sur ce thème telles la Banque mondiale et les bailleurs de fonds arabes.
Pour l’AFD, l'accord devrait permettre de s'enrichir du savoir-faire de la BID, « institution de référence dans l’utilisation de produits islamiques pour le financement du développement et ainsi d’accroître (sa) palette d’outils financiers ».
« Cette démarche s’inscrit dans le cadre du repositionnement de l’Agence dans le monde arabo-musulman pour prendre en compte les évolutions politiques en cours et adopter dans les prochaines semaines une nouvelle stratégie d’intervention visant à favoriser la croissance créatrice d’emplois, à réduire les inégalités sociales et territoriales et à améliorer la qualité de vie des populations », déclare l'AFD.
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Dans ce sens, une conférence sur la microfinance islamique sera organisé le 30 avril à Djeddah afin de valoriser les travaux de réflexion et de les partager avec les principales institutions investies sur ce thème telles la Banque mondiale et les bailleurs de fonds arabes.
Pour l’AFD, l'accord devrait permettre de s'enrichir du savoir-faire de la BID, « institution de référence dans l’utilisation de produits islamiques pour le financement du développement et ainsi d’accroître (sa) palette d’outils financiers ».
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