Revenons à Lui, Dieu. Lui, qui S’est prescrit à Lui-même la miséricorde. Lui, qui a fait précéder chaque sourate par des paroles (la basmala contenant Ses Noms Ar-Rahmân et Ar-Rahîm, Le Tout Miséricordieux, Le Très Miséricordieux ou Le Tout Rayonnant d’amour. Dans la sourate Al-Fatiha, celle que l’on récite tant de fois, chaque jour, tout au long de notre vie, ces Noms divins, évoquant Sa miséricorde, sont aussi présents. Nous les récitons sans cesse, comme pour mieux pouvoir comprendre leur portée, comme pour mieux nous en imprégner.
Notre aimé Prophète, paix et bénédiction sur lui, nous enseigne que cette miséricorde de Dieu ressemble à l’amour d’une maman pour son petit, que notre Créateur nous aime, même, plus que notre propre mère. En effet, Omar ibn Al Khaṭṭâb, que Dieu l’agrée, relate qu’on amena des captifs au Messager de Dieu (PBSL). Parmi ceux-ci se trouvait une femme qui recherchait son enfant. Aussitôt qu’elle le trouva parmi les captifs, elle le prit, le serra contre son ventre et lui donna le sein. Le Messager de Dieu nous dit alors : « Pensez-vous que cette femme irait jeter son enfant dans le Feu ? – Nous répondîmes : Non, par Dieu ! » Le Messager de Dieu (PBSL) dit alors : « Dieu est certes plus Miséricordieux envers Ses serviteurs que ne l’est cette mère envers son enfant ! » (Hadith rapporté par Boukhari et Muslim)
Arrêtons-nous sur ces beaux enseignements prophétiques, sur cet amour de Dieu pour Ses créatures. Cet amour « maternel » si puissant, si sincère, rempli de tant de tendresse. On peut mieux comprendre pourquoi de nombreux attributs divins découlent de cet amour « maternel » : Le Bienveillant, Le Pardonneur, Le Doux, Le Généreux, Le Protecteur…
Notre aimé Prophète, paix et bénédiction sur lui, nous enseigne que cette miséricorde de Dieu ressemble à l’amour d’une maman pour son petit, que notre Créateur nous aime, même, plus que notre propre mère. En effet, Omar ibn Al Khaṭṭâb, que Dieu l’agrée, relate qu’on amena des captifs au Messager de Dieu (PBSL). Parmi ceux-ci se trouvait une femme qui recherchait son enfant. Aussitôt qu’elle le trouva parmi les captifs, elle le prit, le serra contre son ventre et lui donna le sein. Le Messager de Dieu nous dit alors : « Pensez-vous que cette femme irait jeter son enfant dans le Feu ? – Nous répondîmes : Non, par Dieu ! » Le Messager de Dieu (PBSL) dit alors : « Dieu est certes plus Miséricordieux envers Ses serviteurs que ne l’est cette mère envers son enfant ! » (Hadith rapporté par Boukhari et Muslim)
Arrêtons-nous sur ces beaux enseignements prophétiques, sur cet amour de Dieu pour Ses créatures. Cet amour « maternel » si puissant, si sincère, rempli de tant de tendresse. On peut mieux comprendre pourquoi de nombreux attributs divins découlent de cet amour « maternel » : Le Bienveillant, Le Pardonneur, Le Doux, Le Généreux, Le Protecteur…
Dieu, dans Sa Bonté infinie, nous oriente, tel un parent, vers la Voie de la Paix et du Bonheur
De par cette miséricorde, cet amour, Il ne nous a pas laissés en ce monde sans guidance. Lui, Le Créateur des Cieux et de la Terre, Lui qui sait ce qui peut nous faire du bien tout comme ce qui peut nous faire du mal. Il nous a accompagnés et protégés en envoyant Son Message, le Coran, et Son Messager (PBSL), la meilleure créature, qui était entièrement imprégné de Sa Parole ; un modèle humain à suivre pour connaître une vie apaisée et le bonheur éternel.
Si l’on se penche sur ce qu’est l’amour d’une mère, on verra qu’il est tout à la fois porteur de protection, de tendresse et de certaines facilités accordées à l’enfant, mais aussi de limites nécessaires pour l’orienter vers le bon chemin, lui éviter de se perdre et de se causer du tort. C’est ainsi que nous pouvons alors considérer sereinement les prescriptions et les interdits de notre religion. Des obligations pour nous permettre de « grandir » dans ce cheminement vers Dieu, de la meilleure façon, des interdits, pour nous éloigner des dangers, que l’on ne perçoit pas toujours, comme de grands enfants.
Dieu, dans Sa Bonté infinie, nous oriente, tel un parent, vers la Voie de la Paix et du Bonheur et nous éloigne des chemins tortueux, source de malheur. Il est notre Educateur par excellence, et l’on sait ce que l’éducation peut parfois nécessiter comme exigence…
Il y a aussi les épreuves, petites ou grandes, qui jalonnent notre vie. Des épreuves parfois difficiles à vivre, douloureuses, dont on ne comprend pas toujours le sens. Mais on se rappelle alors que c’est Lui, Le Tout Rayonnant d’amour envers Ses créatures, qui nous amène à cheminer à travers ces différentes épreuves, à devenir meilleurs. Que derrière un mal apparent, Il nous amènera certainement à ce qui est mieux pour nous.
L’être humain est tel un enfant qui apprend à grandir sur le chemin de la vie. S’il reste bien entouré dans la bonne compagnie fraternelle, guidé par le Message divin et le modèle prophétique, accompagné dans l’amour et la miséricorde divine, il se dirigera certainement vers la Paix à laquelle il aspire en son for intérieur. S’il se détourne de cela, il risque de s’éloigner du chemin qui conduit à la Paix éternelle et à l’Amour du Créateur.
Dieu nous veut du bien, Il est Bon et Bienveillant envers nous, plus que notre propre maman… Essayons de toujours nous en rappeler.
*****
Première parution sur le site de Participation et Spiritualité Musulmanes (PSM).
Lire aussi :
Les noms divins Ar-Rahman et Ar-Rahim réparent-ils les cœurs ?
Si l’on se penche sur ce qu’est l’amour d’une mère, on verra qu’il est tout à la fois porteur de protection, de tendresse et de certaines facilités accordées à l’enfant, mais aussi de limites nécessaires pour l’orienter vers le bon chemin, lui éviter de se perdre et de se causer du tort. C’est ainsi que nous pouvons alors considérer sereinement les prescriptions et les interdits de notre religion. Des obligations pour nous permettre de « grandir » dans ce cheminement vers Dieu, de la meilleure façon, des interdits, pour nous éloigner des dangers, que l’on ne perçoit pas toujours, comme de grands enfants.
Dieu, dans Sa Bonté infinie, nous oriente, tel un parent, vers la Voie de la Paix et du Bonheur et nous éloigne des chemins tortueux, source de malheur. Il est notre Educateur par excellence, et l’on sait ce que l’éducation peut parfois nécessiter comme exigence…
Il y a aussi les épreuves, petites ou grandes, qui jalonnent notre vie. Des épreuves parfois difficiles à vivre, douloureuses, dont on ne comprend pas toujours le sens. Mais on se rappelle alors que c’est Lui, Le Tout Rayonnant d’amour envers Ses créatures, qui nous amène à cheminer à travers ces différentes épreuves, à devenir meilleurs. Que derrière un mal apparent, Il nous amènera certainement à ce qui est mieux pour nous.
L’être humain est tel un enfant qui apprend à grandir sur le chemin de la vie. S’il reste bien entouré dans la bonne compagnie fraternelle, guidé par le Message divin et le modèle prophétique, accompagné dans l’amour et la miséricorde divine, il se dirigera certainement vers la Paix à laquelle il aspire en son for intérieur. S’il se détourne de cela, il risque de s’éloigner du chemin qui conduit à la Paix éternelle et à l’Amour du Créateur.
Dieu nous veut du bien, Il est Bon et Bienveillant envers nous, plus que notre propre maman… Essayons de toujours nous en rappeler.
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Première parution sur le site de Participation et Spiritualité Musulmanes (PSM).
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