En marge des élections à la présidence de l’UMP, le député-maire de Meaux Jean-François Copé avait emprunté le concept de « racisme anti-blanc » revendiqué par le Front National, ce qui lui a valu une vague de critiques de part et d’autre.
La Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) défend l’existence d’un « racisme anti-blanc », qu'elle présente pourtant comme un « phénomène marginal », et ce, en se plaçant partie civile dans une affaire de violences accompagnées d'insultes racistes contre les blancs.
Un homme avait été victime, en septembre 2010, dans une station de métro de Paris, d'une violente agression physique par trois agresseurs qui lui ont crié : « sale blanc, sale Français ». Il a été évident pour la Licra qu’il s’agissait d’un acte de racisme, un élément déterminant à la constitution d’une circonstance aggravante. Celle-ci a été retenue par la justice. L’affaire sera examinée le 26 octobre à Paris.
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