Ainsi il nous a été possible de voir des militants la plupart liés à la LCR et autres réseaux trotsko-beaufs marchaient main dans la main avec des membres de la communauté musulmane, lors de différentes manifestations ayant des thèmes aussi variés que le voile, les conflits du Moyen Orient…
Néanmoins, c’est faire abstraction de l’idée pernicieuse qui a toujours habité les gauchistes affiliés au réseau précité et qui est la prééminence d’un occidentalisme non avoué derrière des considérations tiers-mondistes et de luttes des classes. Car derrière, des prétention prétendument généreuses, a toujours demeuré ce que dénonçait naguère Aimé Césaire cet esprit fraternaliste pour ne pas dire paternaliste, hérité d’un fort racisme colonial similaire à celui professé par les théoriciens du colonialisme. Il suffit juste de se remémorer quelques peu les propos de Marx sur l’Inde ou d’Engels, pour qui la défaite de l’Emir Abdelkader et le massacre d’algériens constituaient cette avancée vers le progrès et une modernité indéfinissable. Les écrits et théories politiques qu’édicteront leurs successeurs à savoir Lénine et Trotsky seront toujours marqués par cet occidentalisme qui ne différait en rien de celui professé par Cécil Rhodes et Louis Bertrand.
Pour exemple, le plus grand adversaire de l’idée nationale algérienne fut sans conteste les mouvements de gauche, car c’est bien le Front Populaire avec la complicité des communistes qui fit dissoudre l’Etoile Nord Africaine, persécutant ses militants. C’est le même bord politique qui fut membre du gouvernement qui organisa et approuva les massacres de Sétif au lendemain de la seconde guerre mondiale dénonçant les provocations des agents hitlériens du PPA, et c’est encore et toujours la gauche avec la SFIO qui fit voter sous la houlette de Guy Mollet les pleins pouvoirs à l’armée lors de la guerre d’algérie. Les trotskystes ne furent pas en reste, Benyoussef Ben khedda dans ses mémoires intitulés « aux origines du 1er novembre », évoqua les différentes manipulations ourdies par les lambertistes, tentant de pratiquer l’entrisme au sein de la fédération de France du PPA-MTLD, mais ils se heurtèrent à des dirigeants mûrs, aguerris, bien au courant de leurs intentions qui furent au contraire fatales au père du nationalisme algérien Messali Hadj.
Le cas algérien peut faire office de jurisprudence, car les mouvements trotskystes qui s’étaient lancés dans des opérations d’entrisme existent toujours aujourd’hui et usent de stratagèmes similaires profitant de la faiblesse politique et idéologique des musulmans, croyant recevoir l’appui de personnes altruistes. L’exemple le plus frappant est « la marche des beurs », récupérée et cassée par les réseaux trotsko-socialistes, qui laissa place à des officines de « potes » ayant pour seul objectif de canaliser l’esprit de contestation démocratique et toute volonté de constitution d’un mouvement politique et culturel. Dernière manipulation en date de ces réseaux la constitution de l’association « devoir de mémoire » dont la finalité était de court-circuiter un mouvement légitime de découverte et de reconquête de son histoire émanant de la jeunesse issue de l’immigration.
Par conséquent au regard de ces faits il importe qu’émerge une réelle force alternative émancipée des mouvement trotskystes prédateurs, fidèles à cette stratégie du « socialisme par en bas », qui les autorise à n’avoir aucun scrupule dans la conquête des esprits arabo-musulmans et qui sont avant tout rebutés par notre attachement à notre foi musulmane et à notre culture.
Néanmoins, c’est faire abstraction de l’idée pernicieuse qui a toujours habité les gauchistes affiliés au réseau précité et qui est la prééminence d’un occidentalisme non avoué derrière des considérations tiers-mondistes et de luttes des classes. Car derrière, des prétention prétendument généreuses, a toujours demeuré ce que dénonçait naguère Aimé Césaire cet esprit fraternaliste pour ne pas dire paternaliste, hérité d’un fort racisme colonial similaire à celui professé par les théoriciens du colonialisme. Il suffit juste de se remémorer quelques peu les propos de Marx sur l’Inde ou d’Engels, pour qui la défaite de l’Emir Abdelkader et le massacre d’algériens constituaient cette avancée vers le progrès et une modernité indéfinissable. Les écrits et théories politiques qu’édicteront leurs successeurs à savoir Lénine et Trotsky seront toujours marqués par cet occidentalisme qui ne différait en rien de celui professé par Cécil Rhodes et Louis Bertrand.
Pour exemple, le plus grand adversaire de l’idée nationale algérienne fut sans conteste les mouvements de gauche, car c’est bien le Front Populaire avec la complicité des communistes qui fit dissoudre l’Etoile Nord Africaine, persécutant ses militants. C’est le même bord politique qui fut membre du gouvernement qui organisa et approuva les massacres de Sétif au lendemain de la seconde guerre mondiale dénonçant les provocations des agents hitlériens du PPA, et c’est encore et toujours la gauche avec la SFIO qui fit voter sous la houlette de Guy Mollet les pleins pouvoirs à l’armée lors de la guerre d’algérie. Les trotskystes ne furent pas en reste, Benyoussef Ben khedda dans ses mémoires intitulés « aux origines du 1er novembre », évoqua les différentes manipulations ourdies par les lambertistes, tentant de pratiquer l’entrisme au sein de la fédération de France du PPA-MTLD, mais ils se heurtèrent à des dirigeants mûrs, aguerris, bien au courant de leurs intentions qui furent au contraire fatales au père du nationalisme algérien Messali Hadj.
Le cas algérien peut faire office de jurisprudence, car les mouvements trotskystes qui s’étaient lancés dans des opérations d’entrisme existent toujours aujourd’hui et usent de stratagèmes similaires profitant de la faiblesse politique et idéologique des musulmans, croyant recevoir l’appui de personnes altruistes. L’exemple le plus frappant est « la marche des beurs », récupérée et cassée par les réseaux trotsko-socialistes, qui laissa place à des officines de « potes » ayant pour seul objectif de canaliser l’esprit de contestation démocratique et toute volonté de constitution d’un mouvement politique et culturel. Dernière manipulation en date de ces réseaux la constitution de l’association « devoir de mémoire » dont la finalité était de court-circuiter un mouvement légitime de découverte et de reconquête de son histoire émanant de la jeunesse issue de l’immigration.
Par conséquent au regard de ces faits il importe qu’émerge une réelle force alternative émancipée des mouvement trotskystes prédateurs, fidèles à cette stratégie du « socialisme par en bas », qui les autorise à n’avoir aucun scrupule dans la conquête des esprits arabo-musulmans et qui sont avant tout rebutés par notre attachement à notre foi musulmane et à notre culture.