Après 17 ans d'existence, le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF) disparaît. L'association, menacée de dissolution par le ministère de l'Intérieur, a préféré s'auto-dissoudre. Elle a confirmé ce choix vendredi 27 novembre, rappelant avoir activé « un plan d’ampleur permettant de déployer une large partie de ses activités à l’étranger ».
« Les différentes actions qu’il continue de maintenir sont liées à la procédure de liquidation, qui prend le temps nécessaire pour que les différents dossiers du CCIF soient transférés et/ou clôturés », a fait savoir dans un communiqué final le CCIF, pour qui les griefs qui leur ont été reprochés dans la notification de dissolution se basait « sur des éléments infondés, biaisés ou mensongers ».
« Les actifs de notre association ont été transférés à des associations partenaires qui se chargeront de prendre le relais de la lutte contre l’islamophobie à l’échelle européenne », a déclaré le CCIF, qui a fermé ses outils de communication dans la nuit du vendredi 27 au 28 novembre. Plus de page Facebook, de compte Twitter ou même de site
Quant à ses adhérents, partenaires et soutiens, « il leur sera proposé de prendre attache avec (ses) associations partenaires, et s’ils le souhaitent, pourront suivre et soutenir la lutte contre l’islamophobie ».
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Pourquoi la probable dissolution du CCIF suscite incompréhension et inquiétude
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