Stéphane Diagana portant la flamme olympique
Kevan Gosper, le vice-président de la commission de coordination des Jeux olympiques au sein CIO a ainsi déclaré que les responsables de l'organisation étaient "extrêmement désespérés", estimant que la flamme olympique était prise à partie par des "perturbateurs professionnels" cherchant à exprimer leur opposition à la Chine.
"Ils expriment juste leur haine quel que soit le sujet à l'ordre du jour, et la haine contre le pays hôte retombe sur notre torche", a déclaré Kevan Gosper.
Les responsables du CIO ont également annoncé qu'ils se réuniraient mercredi à Pékin afin de statuer sur un possible abandon par le Comité du parcours mondial de la flamme olympique. Ce en raison des incidents qui ont émaillé le parcours de la flamme à Londres puis à Paris hier.
Les organisateurs "ont fait énormément d'effort pour se préparer à organiser l'un des plus grands jeux de tous les temps. Et ces perturbateurs, ces perturbateurs professionnels, ne font pas attention à ça. Ils sont juste animés par la haine et le ressentiment", a souligné Kevan Gosper à la presse.
"Ces manifestations organisées sont un abus contre la torche olympique, qui est le symbole de la bonne volonté, de la paix, de la compréhension et de l'excellence dans le sport", a-t-il ajouté.
"Aucune force" ne pourra arrêter la flamme, a pour sa part estimé le Bocog, le comité d'organisation des Jeux de Pékin. Son porte-parole Sun Weide a ainsi déclaré que "le parcours de la flamme olympique va se poursuivre avec le soutien des habitants du monde entier. Aucune force ne peut arrêter le parcours de la flamme olympique des jeux de Pékin".
"Ils expriment juste leur haine quel que soit le sujet à l'ordre du jour, et la haine contre le pays hôte retombe sur notre torche", a déclaré Kevan Gosper.
Les responsables du CIO ont également annoncé qu'ils se réuniraient mercredi à Pékin afin de statuer sur un possible abandon par le Comité du parcours mondial de la flamme olympique. Ce en raison des incidents qui ont émaillé le parcours de la flamme à Londres puis à Paris hier.
Les organisateurs "ont fait énormément d'effort pour se préparer à organiser l'un des plus grands jeux de tous les temps. Et ces perturbateurs, ces perturbateurs professionnels, ne font pas attention à ça. Ils sont juste animés par la haine et le ressentiment", a souligné Kevan Gosper à la presse.
"Ces manifestations organisées sont un abus contre la torche olympique, qui est le symbole de la bonne volonté, de la paix, de la compréhension et de l'excellence dans le sport", a-t-il ajouté.
"Aucune force" ne pourra arrêter la flamme, a pour sa part estimé le Bocog, le comité d'organisation des Jeux de Pékin. Son porte-parole Sun Weide a ainsi déclaré que "le parcours de la flamme olympique va se poursuivre avec le soutien des habitants du monde entier. Aucune force ne peut arrêter le parcours de la flamme olympique des jeux de Pékin".