« Rassemblement bleu Marine ». C'est le nom sous lequel se présentera le Front national aux élections législatives de juin prochain, a déclaré le parti mardi 24 avril.
Ce nom avait été déjà évoqué la semaine dernière par Louis Aliot, le vice-président du FN, également compagnon de Marine Le Pen. Un autre nom, « l'Alliance pour un rassemblement national » avait été déposé auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (INPI) le 12 janvier sans que celui-ci soit retenu.
Forte de son succès au premier tour de la présidentielle, Marine Le Pen se rêve en chef d'une « nouvelle droite », qui se construirait sur une défaite de Nicolas Sarkozy le 6 mai, et entend conduire une coalition incluant des ex-chevènementistes, villiéristes et gaullistes aux législatives, où le FN espère obtenir des élus pour la première fois depuis 1986.
Pour le moment, le changement définitif du nom du parti d’extrême droite, fondé en 1972 par Jean-Marie Le Pen, n’est pas à l’ordre du jour mais l’idée n’est pas exclue en cas de succès aux législatives. L’entreprise de dédiabolisation du FN se poursuit. L'extrême droite change de façade sans rien modifier du fond de son discours et de son programme.
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