Le Fonds de solidarité islamique (Fsi) a débloqué 60 000 dollars US (30 millions de francs Cfa) à cinq associations ou institutions islamiques sénégalaises, pour la construction de trois mosquées et de deux écoles d’enseignement arabe.
« Cet appui est destiné au financement de cinq projets pour l’achèvement des travaux de construction de 3 mosquées et de 2 écoles arabes dont le dossier de demande de financement a été introduit auprès du Fsi, par le canal de mon département », a dit mardi le ministre des Affaires étrangères Cheikh Tidiane Gadio.
Cheikh Tidiane Gadio a indiqué que depuis sa création en 2006, le Fonds de solidarité islamique finance des projets d’assistance et de développement social en faveur du Sénégal pour un montant global de 2 millions 426 dollars US.
« Je ne doute aucunement que cet argent sera utilisé entièrement au financement de ces projets pour lesquels il a été octroyé », a signalé le ministre exhortant les bénéficiaires à une gestion transparente de cette assistance. « Vous devez rendre compte régulièrement, par le canal du ministère des Affaires étrangères, le Fonds de solidarité islamique, de l’état d’évolution des travaux », a-t-il suggéré. Il a dit que ce serait de nature à permettre de mériter davantage la confiance du Fonds et de pouvoir plaider avec beaucoup de facilité pour, éventuellement, un second financement.
« Cet appui est destiné au financement de cinq projets pour l’achèvement des travaux de construction de 3 mosquées et de 2 écoles arabes dont le dossier de demande de financement a été introduit auprès du Fsi, par le canal de mon département », a dit mardi le ministre des Affaires étrangères Cheikh Tidiane Gadio.
Cheikh Tidiane Gadio a indiqué que depuis sa création en 2006, le Fonds de solidarité islamique finance des projets d’assistance et de développement social en faveur du Sénégal pour un montant global de 2 millions 426 dollars US.
« Je ne doute aucunement que cet argent sera utilisé entièrement au financement de ces projets pour lesquels il a été octroyé », a signalé le ministre exhortant les bénéficiaires à une gestion transparente de cette assistance. « Vous devez rendre compte régulièrement, par le canal du ministère des Affaires étrangères, le Fonds de solidarité islamique, de l’état d’évolution des travaux », a-t-il suggéré. Il a dit que ce serait de nature à permettre de mériter davantage la confiance du Fonds et de pouvoir plaider avec beaucoup de facilité pour, éventuellement, un second financement.