Le chef en exil du Hamas, Khaled Méchaal, estime que le monde a une image erronée de son organisation et il demande que l'on cesse de le voir aux travers du regard déformant d'Israël.
"Nous croyons que la plupart des dirigeants en Europe, en Occident, ont une image du Hamas, une image erronée du Hamas, parce que cette image ne nous ressemble pas. Elle reflète comment certains, particulièrement Israël, voient le Hamas", a déclaré M. Méchaal dans un entretien accordé vendredi à l'agence Associated Press (AP) lors d'un déplacement entre Ankara et Istanbul en Turquie, pays où il est actuellement reçu officiellement.
"Nous voulons que le monde, et particulièrement les pays en Occident, nous comprennent, comprennent bien le Hamas, pour comprendre la volonté du peuple palestinien, les objectifs nationaux du Hamas et du peuple palestinien."
Interrogé sur le fait que la plupart des pays demandent au Mouvement de la résistance islamique de reconnaître Israël en renonçant à la lutte armée et en acceptant les précédents accords conclus, Khaled Méchaal a répondu en riant: "Tout le monde dit cela. Je sais, je sais". Il exclut toutefois de céder immédiatement à la pression subie de toute part, y compris des autorités turques qui le reçoivent pour s'enquérir de son programme en tant que parti de gouvernement désormais.
"Nous croyons que la plupart des dirigeants en Europe, en Occident, ont une image du Hamas, une image erronée du Hamas, parce que cette image ne nous ressemble pas. Elle reflète comment certains, particulièrement Israël, voient le Hamas", a déclaré M. Méchaal dans un entretien accordé vendredi à l'agence Associated Press (AP) lors d'un déplacement entre Ankara et Istanbul en Turquie, pays où il est actuellement reçu officiellement.
"Nous voulons que le monde, et particulièrement les pays en Occident, nous comprennent, comprennent bien le Hamas, pour comprendre la volonté du peuple palestinien, les objectifs nationaux du Hamas et du peuple palestinien."
Interrogé sur le fait que la plupart des pays demandent au Mouvement de la résistance islamique de reconnaître Israël en renonçant à la lutte armée et en acceptant les précédents accords conclus, Khaled Méchaal a répondu en riant: "Tout le monde dit cela. Je sais, je sais". Il exclut toutefois de céder immédiatement à la pression subie de toute part, y compris des autorités turques qui le reçoivent pour s'enquérir de son programme en tant que parti de gouvernement désormais.