RAMALLAH. – Dans un monde dominé majoritairement par des hommes en Palestine comme dans le monde entier, Leila Ghanem est une figure incontournable des femmes qui comptent en politique. Première femme et unique gouverneure en Palestine, elle est en charge de Ramallah et de la commune limitrophe d’Al Bireh, capitale administrative provisoire d’un Etat que les Palestiniens continuent d’espérer depuis le début de la Nakba en 1948.
Avant elle, on avait connu Leila Shahid qui avait su porter les revendications des Palestiniens en français. Avant elle, on avait vu la force et l’abnégation de Fadwa Barghouti qui, malgré la condamnation à vie dans les geôles israélienne de son mari Marwan Barghouti, continuait de porter le combat de celui qui est souvent comparé à Nelson Mandela.
Pour les Palestiniennes et Palestiniens, Leila Ghanem est connue pour ne jamais dire non à quiconque frappe à sa porte pour de l’aide. Depuis 2010, nommée gouverneure à l’age de 35 ans, Leila Ghanem est partout chez les familles de prisonniers palestiniens, dans la rue, au plus proche de la population à Ramallah et à Jérusalem. C’est cette proximité et cet dévouement qui font qu’elle est aimée, respectée des Palestiniennes et Palestiniens.
Leila Ghanem est un rappel de ce que devrait être un homme ou femme politique : un individu au service des autres.
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