Un dirigeant de la guérilla des Farc a accusé le président colombien Alvaro Uribe d'avoir monté un plan pour assassiner ses homologues vénézulien Hugo Chavez et équatorien Rafael Correa, dans un communiqué diffusé lundi.
«Le vrai terroriste, c'est Alvaro Uribe. Il a tenté et il continue d'essayer de tuer le président Hugo Chavez», indique Ivan Marquez, un membre de la direction des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) dans ce texte publié par l'Agence bolivarienne de presse (ABP), proche de la guérilla.
Le dirigeant des Farc a notamment affirmé que les services secrets colombiens avaient dépêché plus d'une centaine de paramilitaires au Venezuela, dans le but d'assassiner M. Chavez.
Selon M. Marquez, dont le vrai nom est Luciano Marin, ces mêmes services seraient en train de «préparer un groupe de tueurs pour les envoyer en Equateur afin d'assassiner le président Rafael Correa».
Ce texte, dont la date n'est pas précisée, est diffusé au lendemain de l'appel lancé par M. Chavez à la guérilla pour l'exhorter à libérer ses otages et mettre fin à son mouvement.
Il intervient dans un contexte politique tendu dans la région, où les autorités colombiennes, soutenues par les États-Unis, accusent leurs voisins du Venezuela et d'Equateur, dirigés par des gouvernements de gauche, de collaborer avec la guérilla marxiste.
«Le vrai terroriste, c'est Alvaro Uribe. Il a tenté et il continue d'essayer de tuer le président Hugo Chavez», indique Ivan Marquez, un membre de la direction des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) dans ce texte publié par l'Agence bolivarienne de presse (ABP), proche de la guérilla.
Le dirigeant des Farc a notamment affirmé que les services secrets colombiens avaient dépêché plus d'une centaine de paramilitaires au Venezuela, dans le but d'assassiner M. Chavez.
Selon M. Marquez, dont le vrai nom est Luciano Marin, ces mêmes services seraient en train de «préparer un groupe de tueurs pour les envoyer en Equateur afin d'assassiner le président Rafael Correa».
Ce texte, dont la date n'est pas précisée, est diffusé au lendemain de l'appel lancé par M. Chavez à la guérilla pour l'exhorter à libérer ses otages et mettre fin à son mouvement.
Il intervient dans un contexte politique tendu dans la région, où les autorités colombiennes, soutenues par les États-Unis, accusent leurs voisins du Venezuela et d'Equateur, dirigés par des gouvernements de gauche, de collaborer avec la guérilla marxiste.