Améliorer les conditions de vie des populations les plus démunies tout en préservant l’environnement, c’est le tout dernier concept développé par le Secours islamique France qui propose à ses adhérents et à ceux qui souhaitent le devenir des « éco-donateurs. »
Pour ce faire, des « projets éco-responsables financés par des éco-donateurs par des actions éco-solidaires » sont mises en place par l’ONG humanitaire, qui intégre une dimension écologique à ses actions sur le terrain.
« Notre principale mission est d’améliorer les conditions de vies des personnes victimes de conflits, catastrophes naturelles ou crises internes. C’est notre priorité et nous mettons tout en œuvre pour la réaliser. Cependant, si l’on n’y prête pas une attention particulière, l’action humanitaire peut être consommatrice de ressources naturelles et polluer l’environnement des populations que nous aidons » à travers les déchets médicaux, l’utilisation massive de bois qui participe à la déforestation, l’usage de générateurs électriques ou encore de véhicules pollueurs, souligne le SIF dans un communiqué du mercredi 15 juin.
L’association appelle les donateurs à faire des économies d’énergie et particulièrement d’eau, qui se transformeront de fait à en des économies financières, et à faire le choix de les reverser à des projets humanitaires éco-responsables.
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L’éco-islam
Pour ce faire, des « projets éco-responsables financés par des éco-donateurs par des actions éco-solidaires » sont mises en place par l’ONG humanitaire, qui intégre une dimension écologique à ses actions sur le terrain.
« Notre principale mission est d’améliorer les conditions de vies des personnes victimes de conflits, catastrophes naturelles ou crises internes. C’est notre priorité et nous mettons tout en œuvre pour la réaliser. Cependant, si l’on n’y prête pas une attention particulière, l’action humanitaire peut être consommatrice de ressources naturelles et polluer l’environnement des populations que nous aidons » à travers les déchets médicaux, l’utilisation massive de bois qui participe à la déforestation, l’usage de générateurs électriques ou encore de véhicules pollueurs, souligne le SIF dans un communiqué du mercredi 15 juin.
L’association appelle les donateurs à faire des économies d’énergie et particulièrement d’eau, qui se transformeront de fait à en des économies financières, et à faire le choix de les reverser à des projets humanitaires éco-responsables.
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