Pierre Legrand, Daniel Larribe, Thierry Dol et Marc Féret sont libres. Les quatre otages français d’Arlit, au Niger, ont recouvré la liberté, mardi 29 octobre, après trois ans de captivité dans le désert africain et ont retrouvé leurs familles dès le lendemain à Paris.
Une fin heureuse qui n’aurait pas été possible sans le versement d’une rançon, selon Le Monde qui parle de « plus d’une vingtaine de millions d’euros » prélevés sur « les fonds secrets alloués aux services de renseignement ». L'AFP cite une source nigérienne selon qui la somme a servi à payer les ravisseurs ainsi que les intermédiaires ayant joué un rôle important pour obtenir ces libérations.
Cependant, dans cette affaire, le rôle des entreprises Areva et de Vinci pour qui travaillent les ex-otages reste flou. Comme à chaque libération d’otages, le gouvernement a démenti le paiement de toute rançon. Il reste fort à parier qu’une contrepartie, matérielle si elle n’est financière, ait été versée pour en finir avec le dossier.
Lire aussi :
Libération des otages français : réaction du RMF
Libération des otages du Niger : solidarité envers les familles
Une fin heureuse qui n’aurait pas été possible sans le versement d’une rançon, selon Le Monde qui parle de « plus d’une vingtaine de millions d’euros » prélevés sur « les fonds secrets alloués aux services de renseignement ». L'AFP cite une source nigérienne selon qui la somme a servi à payer les ravisseurs ainsi que les intermédiaires ayant joué un rôle important pour obtenir ces libérations.
Cependant, dans cette affaire, le rôle des entreprises Areva et de Vinci pour qui travaillent les ex-otages reste flou. Comme à chaque libération d’otages, le gouvernement a démenti le paiement de toute rançon. Il reste fort à parier qu’une contrepartie, matérielle si elle n’est financière, ait été versée pour en finir avec le dossier.
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