Une quarantaine de responsables religieux des pays du G8, réunis à Bordeaux lundi 23 et mardi 24 mai, ont appelé à de pressantes réformes relatives à la gouvernance mondiale, au développement et au changement climatique, selon une déclaration commune publiée mercredi 25 mai et remise à la présidence française du G8.
« Les pays du G20 sont responsables d'environ 80% de l'émission mondiale des gaz à effet de serre. Les pays développés et les plus grands pollueurs doivent prendre la tête du mouvement pour la réduction des émissions et pour la création d'un fonds financier innovant pour financer les technologies nécessaires à une économie faible en émissions de CO2 », ont-ils indiqué, ajoutant que le changement climatique « reste une menace imminente primordiale pour la sécurité actuelle et future, ainsi que pour la prospérité du monde ».
Les responsables religieux ont par ailleurs appelé les dirigeants à ouvrir leurs réunions aux pays à faible revenu, à fournir un siège permanent à l’Union africaine, à l’Amérique latine, ainsi qu’aux organismes régionaux d’Asie et à rendre le fonctionnement du G8 et du G20 plus transparent « de sorte que la société civile et les organismes religieux puissent prendre part à leur travail, influencer leurs décisions et s’assurer que les engagements soient bien pris et tenus », notamment celui qui consiste à consacrer 0,7 % de leur PIB à l’aide au développement.
« Les temps de plus en plus complexes et périlleux que nous vivons requièrent une approche globale» et « la cohésion nouvelle apparue entre les États doit être renforcée et élargie afin d’inclure d’autres États et parties prenantes », concluent-ils.
Parmi les dossiers sur la table du G8 du 26 et du 27 mai à Deauville, un partenariat avec les pays arabes, notamment la Tunisie et l’Egypte, sera discuté afin que ceux qui entament une transition démocratique puissent le faire au mieux.
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Les responsables religieux ont par ailleurs appelé les dirigeants à ouvrir leurs réunions aux pays à faible revenu, à fournir un siège permanent à l’Union africaine, à l’Amérique latine, ainsi qu’aux organismes régionaux d’Asie et à rendre le fonctionnement du G8 et du G20 plus transparent « de sorte que la société civile et les organismes religieux puissent prendre part à leur travail, influencer leurs décisions et s’assurer que les engagements soient bien pris et tenus », notamment celui qui consiste à consacrer 0,7 % de leur PIB à l’aide au développement.
« Les temps de plus en plus complexes et périlleux que nous vivons requièrent une approche globale» et « la cohésion nouvelle apparue entre les États doit être renforcée et élargie afin d’inclure d’autres États et parties prenantes », concluent-ils.
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