Lundi, le roi Abdallah II de Jordanie a eu un entretien avec l'émir du Koweït, alors que les dirigeants arabes cherchent un moyen de mettre fin aux combats entre Israël et le Hezbollah.
A l'issue de la visite du souverain hachémite qui s'est achevée au bout de trois heures environ, aucun détail n'a été rendu public.
Les discussions entre le roi Abdallah II de Jordanie et Cheikh Sabah Al Ahmed Al Sabah devaient porter sur les moyens d'arrêter "une position arabe unifiée sur la poursuite de l'agression israélienne au Liban", avait précisé l'agence de presse officielle koweïtienne avant la rencontre.
Le Koweït a imputé la responsabilité de la violence actuelle au Hezbollah. Son chef de la diplomatie, Cheikh Mohammed Al Sabah, a averti ceux qui estiment que "la guerre produirait des résultats positifs dans les circonstances présentes", une référence au Parti de Dieu.
Le roi Abdallah II de Jordanie a également pointé du doigt le Hezbollah, critiquant des "parties" non identifiées, pour avoir plongé le pays du Cèdre dans une confrontation avec Israël.
L'Arabie saoudite et l'Egypte ont aussi réprimandé le Hezbollah, pour les combats au Liban.
A l'issue de la visite du souverain hachémite qui s'est achevée au bout de trois heures environ, aucun détail n'a été rendu public.
Les discussions entre le roi Abdallah II de Jordanie et Cheikh Sabah Al Ahmed Al Sabah devaient porter sur les moyens d'arrêter "une position arabe unifiée sur la poursuite de l'agression israélienne au Liban", avait précisé l'agence de presse officielle koweïtienne avant la rencontre.
Le Koweït a imputé la responsabilité de la violence actuelle au Hezbollah. Son chef de la diplomatie, Cheikh Mohammed Al Sabah, a averti ceux qui estiment que "la guerre produirait des résultats positifs dans les circonstances présentes", une référence au Parti de Dieu.
Le roi Abdallah II de Jordanie a également pointé du doigt le Hezbollah, critiquant des "parties" non identifiées, pour avoir plongé le pays du Cèdre dans une confrontation avec Israël.
L'Arabie saoudite et l'Egypte ont aussi réprimandé le Hezbollah, pour les combats au Liban.