Alain Pojolat est poursuivi. Ce membre du Nouveau parti anticapitaliste (NPA), qui déposait au nom de l’ensemble des organisateurs, dont le NPA, la déclaration en préfecture des manifestations qui ont ensuite étaient interdites, comparaîtra devant le tribunal de grande instance de Paris le 22 octobre prochain, apprend-t-on mardi 29 juillet.
Alors que la situation à Gaza se dégrade de jour en jour, « l’urgence pour le gouvernement Hollande-Valls n’est pas de mettre tout en œuvre pour faire cesser ce massacre, mais de tenter d’interdire des manifestations à Paris, de criminaliser le mouvement de solidarité et ainsi d'affirmer son soutien à la politique criminelle de l'Etat d'Israël », déclare dans un communiqué le parti d’extrême gauche, qui revendique « fièrement » sa participation aux manifestations du 19 et 26 juillet qui ont rassemblé des milliers de personnes malgré leur interdiction.
Les autres organisateurs ne sont pas à l'abri de poursuites. Tous dénoncent les tentatives d’intimidations, nombreuses, contre les militants de la cause palestinienne, qui se manifestent actuellement à travers un certain nombre d'arrestations qu’ils considèrent arbitraires. Des arrestations, qui ont débouché à des gardes à vue, ont par exemple été effectués avant le début annoncé de la manifestation du samedi, a-t-on constaté.
En réponse, les organisateurs appellent le plus grand nombre à se rendre massivement à la prochaine manifestation, prévue samedi 2 août à Paris, « toujours déterminéEs à faire entendre notre solidarité au peuple palestinien, à exiger la fin de l'offensive et la levée du blocus de Gaza », explique le NPA.
Alors que la situation à Gaza se dégrade de jour en jour, « l’urgence pour le gouvernement Hollande-Valls n’est pas de mettre tout en œuvre pour faire cesser ce massacre, mais de tenter d’interdire des manifestations à Paris, de criminaliser le mouvement de solidarité et ainsi d'affirmer son soutien à la politique criminelle de l'Etat d'Israël », déclare dans un communiqué le parti d’extrême gauche, qui revendique « fièrement » sa participation aux manifestations du 19 et 26 juillet qui ont rassemblé des milliers de personnes malgré leur interdiction.
Les autres organisateurs ne sont pas à l'abri de poursuites. Tous dénoncent les tentatives d’intimidations, nombreuses, contre les militants de la cause palestinienne, qui se manifestent actuellement à travers un certain nombre d'arrestations qu’ils considèrent arbitraires. Des arrestations, qui ont débouché à des gardes à vue, ont par exemple été effectués avant le début annoncé de la manifestation du samedi, a-t-on constaté.
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