Hier dans la soirée, plusieurs manifestations anti-Sarkozy ont été signalées, après la victoire de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle.
A Paris, Place de la Bastille où 2.000 personnes se sont rassemblées, selon la police, des heurts ont opposé des centaines de manifestants aux forces de l'ordre qui ont fait usage de gaz lacrymogène.
Trois gendarmes et un CRS ont été blessés ainsi qu'un civil qui a reçu un caillou sur la tête, a-t-on précisé à la préfecture de police de Paris.
En Ile-de-France, quatre véhicules dont un bus en stationnement ont été incendiés dans la soirée à Argenteuil, selon la préfecture du Val d'Oise.
En province, des rassemblements anti-Sarkozy ont été organisés notamment à Rennes, à Nantes et à Lyon.
A Nantes, près d'un millier de jeunes ont défilé dans la soirée dans le centre-ville au cris de: "Sarko-Le Pen, c'est du pareil au même".
Dans le cortège, flottaient des drapeaux de la CNT (Confédération nationale du travail, syndicat anarchiste), de la LCR (Ligue communiste révolutionnaire), du MJS (Mouvement des jeunes socialistes) ou de la Ligue des droits de l'Homme.
Ils se sont opposés aux forces de l'ordre qui protégeaient la permanence de campagne de François Pinte, candidat UMP aux prochaines législatives. Une poubelle a été incendiée non loin de là.
A Lyon, des incidents ont éclaté dans le centre de Lyon provoqués par des partisans déçus de la défaite de Ségolène Royal.
Un peu avant 23h00, un millier de manifestants, après avoir fait le tour du centre-ville, se sont rassemblés place Bellecourt, où des échauffourées ont eu lieu avec les forces de l'ordre qui ont neutralisé la place avec des bombes lacrymogènes.
A Toulouse des manifestants anti-Sarkozy ont scandé des slogans contre le candidat de l'UMP sur la place du Capitole. Deux véhicules ont été incendiés et des policiers ont essuyé des jets de pierre.
A Paris, Place de la Bastille où 2.000 personnes se sont rassemblées, selon la police, des heurts ont opposé des centaines de manifestants aux forces de l'ordre qui ont fait usage de gaz lacrymogène.
Trois gendarmes et un CRS ont été blessés ainsi qu'un civil qui a reçu un caillou sur la tête, a-t-on précisé à la préfecture de police de Paris.
En Ile-de-France, quatre véhicules dont un bus en stationnement ont été incendiés dans la soirée à Argenteuil, selon la préfecture du Val d'Oise.
En province, des rassemblements anti-Sarkozy ont été organisés notamment à Rennes, à Nantes et à Lyon.
A Nantes, près d'un millier de jeunes ont défilé dans la soirée dans le centre-ville au cris de: "Sarko-Le Pen, c'est du pareil au même".
Dans le cortège, flottaient des drapeaux de la CNT (Confédération nationale du travail, syndicat anarchiste), de la LCR (Ligue communiste révolutionnaire), du MJS (Mouvement des jeunes socialistes) ou de la Ligue des droits de l'Homme.
Ils se sont opposés aux forces de l'ordre qui protégeaient la permanence de campagne de François Pinte, candidat UMP aux prochaines législatives. Une poubelle a été incendiée non loin de là.
A Lyon, des incidents ont éclaté dans le centre de Lyon provoqués par des partisans déçus de la défaite de Ségolène Royal.
Un peu avant 23h00, un millier de manifestants, après avoir fait le tour du centre-ville, se sont rassemblés place Bellecourt, où des échauffourées ont eu lieu avec les forces de l'ordre qui ont neutralisé la place avec des bombes lacrymogènes.
A Toulouse des manifestants anti-Sarkozy ont scandé des slogans contre le candidat de l'UMP sur la place du Capitole. Deux véhicules ont été incendiés et des policiers ont essuyé des jets de pierre.